lundi 19 mai 2025

le puits au fond du jardin • crasse écologique…



 

Je ne sais pas si l’attraction du jour est la victoire amplement justifiée de Rotailleau ou les insanités proférées par le terrifiant imposteur écolo Caron au sujet d’Israël et de l’Eurovision. C’est pourquoi j’opte pour sa collègue Tondelier, frappée d’une absence de cerveau et affublée d’une constance affligeante de niaiseries congénitales. Je l’ai vu, hier à midi, à la télé. Son discours creux, sans fondement, basé sur l’ignorance, la médisance, la lâcheté crasse, me conforte dans ma non-considération de la race écologique qui ne comprend que des frustrés, des morts-vivants, des lâches qui défendent la souffrance des poireaux pour ne pas voir celle des hommes et la leur, en particulier. Ils ne sont que des malades incurables qui vivent leur mort en dehors de toutes les réalités et qui veulent le triomphe des crétineries abyssales et dangereuses comme les LGBTQIA+ et la honte des couples homos et lesbiennes qui se croient autorisés à adopter, ce qui est absolument contraire à l’équilibre et à la croissance de l’enfant. Nous vivons nos héritages, une succession d’horreurs et de souffrances, auxquels s’ajoutent les coups de poignards du présent, parce que la volonté de maîtriser notre inconscient est un tabou incontournable. Et pourtant, il suffirait de pousser la porte du cabinet de Freud pour y cherche notre miroir, le trouver, s’y regarder, s’y reconnaître et le traverser. Mais non, l’homme préfère s’acharner sur les on-dit sans fondement et vivre mort sur le chemin mène dans le noir au fond de mon puits, au fond de mon jardin.  

 


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