samedi 31 mai 2025

vu à travers le tube • la femme coupable…

Il semblerait que l’enfant de l’Élysée rentre de vacances aujourd’hui, après quatre jours de dénis et mensonges chez les asiatiques, avec maman « je te gifle, tu m’embrasses » et – surtout – avec la haine au bout de la langue, haine envers Israël, Moscou et Pékin avec qui il veut engager la guerre terminale. Pauvre petit minable, indigne d’un embryon de ver de terre. C’est nous qui payons ses escapades et c’est nous qui allons crever sous les drones, missiles et bombes en tous genres des pays qu’il menace. N’y a-t-il pas un esprit lucide, doublé d’une main de fer, pour l’arrêter avant qu’il ne soit trop tard ? N’y a-t-il pas un courageux chevalier, qui pourrait être masqué, pour lui mettre Nothung sous le nez et le contraindre à s’exiler dans un trou noir, comme celui de mon puits ? Hélas ! L’horizon est toujours aussi resplendissant de son vide. C’est sans doute que trouver un homme, sur cette terre gangrénée par des ados sales, boutonneux, ignorants, stupides, ridicules, animés par les pires des sentiments, est devenu mission impossible. L’enfant qui nait est pollué – gravement - par les générations précédentes. Et c’est le rôle les parents de le dépolluer et de l’accompagner sur les chemins de vérité. C’est pourquoi la seule culpabilité dans ce monde déclinant et effarant, c’est bien celle des parents incultes et bornés. Avoir un enfant est une responsabilité. Cet élément primordial est évacué froidement. Non seulement il faut répondre par la violence aux petits cons qui égorgent les passants, mais il faut aussi incarcérer immédiatement leurs parents et n’avoir aucune pitié. Si l’échec de la vie est total, c’est peut-être bien que cette vie est inutile. Je ne peux comprendre que la femme coupable m’ait donné la vie alors qu’elle savait pertinemment qu’elle me serait reprise à n’importe quel moment. Pour moi, c’est, de sa part, de la perversité et du sadisme.      

 

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