mardi 3 juin 2025

le puits au fond du jardin • entre silence et papouille…

 



 

Après ce triste weekend où personne ne se demande comment, à un tel niveau, il est possible de marquer cinq buts et où les presses de gauche minimisent - quand elles en parlent - les dégâts humains et financiers causés par les hordes sauvages qui, à part quelques rares exceptions, se retrouvent aujourd’hui dans la rue après leurs comparutions immédiates, le sursis ayant été le maître-mot de notre Justice agonisante, après le triste weekend, disais-je, la France, enterrée dans les sous-sols depuis presque cinquante ans, est encore descendu d’un étage et peut désormais creuser le fond, elle qui sait si bien creuser sa tombe. Revenir à l’essentiel et détruire le reste : être homme ou femme, être bon ou gentil, marcher à gauche ou à droite, être dans l’eau ou sur la rive, pénétrer ou recevoir, jouer en do ou en ré, différencier ou confondre, obéir ou commander, construire ou détruire, manger ou vomir, se coucher ou se lever, trotter au pas ou au galop, chanter ou aboyer, ouvrir ou fermer, écouter ou entendre, regarder ou voir, fermer ou ouvrir, vivre ou mourir. Nous avons le choix et nous ne le savons pas, parce que les peuples cupides, ignorants et soumis, ont rejeté Freud, celui par qui nous pouvons chercher notre miroir, le trouver, s’y regarder, s’y reconnaître et le traverser. Et c’est la seule – la seule – solution pour mettre fin à la terreur qui embrase le monde, terreur entretenue savamment par les marmites puantes et sanglantes des mélenchonistes islamistes imbriqués d’écologistes stupides et destructeurs.

 

Le peuple français attend toujours, de Bayrou, la condamnation des horreurs de ces samedi et dimanche. Le lâche garde le silence. Il rejoint en cela le détenteur des clés de l’Élysée, qui, au moment des crimes, papouillait ardemment le qatarien protecteur du Hamas et des Frères musulmans.   

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