Les festivités du 14 juillet, la victoire du PSG et le discours subversif de l’enfant de l’Élysée au psychisme inabouti, donnent des boutons à la police qui craint – très justement – que les hordes sauvages juvéniles mettent le feu aux Champs-Élysées, cassent les vitrines, violent les jeunes femmes et découpent les vieilles mémés. Oui, la terreur sera bien au rendez-vous puisque la violence est entrée dans les mœurs et que le monde a cédé devant ses outrances, ses outrages et sa sauvagerie. Et si, pendant ces deux jours, on instaurait un couvre-feu de 20 heures à 8 heures et que l’on ouvre le feu sur tout nez qui se pointe hors des chambres à coucher ? Et si on jetait au bûcher la Ligue des Droits de l’Homme, cet agglomérat de sinistres imbéciles qui défend la criminalité ? Et si on faisait de même avec toutes ces minables associations dégoulinantes de sentiments viciées qui contaminent les foules et brisent la société ? Je me demande pourquoi j’évoque ces restes de crottes de chats, puisque dans les jours qui viennent, la France entière va partir, au rythme des pas du cheval blanc de Macron-Napoléon et de l’Auberge, à pied, l’opinel en bandoulière, à la conquête de Moscou pour s’y allonger dans les cimetières. Poutine m’a dit que quand il avait vu et entendu notre petit général, il avait beaucoup ri avec sa bobonne à lui. Si le complot contre les Russes est une farce pour occuper l’enfant, la guerre civile qui s’annonce pour les 13 et 14 juillet, est une vraie réalité que le bon sens pourrait nous éviter. Mais, le bon sens n’est plus de mise, les phantasmes puérils des gauches étendant leur ombre sur tout le territoire et ayant gagné la partie. Mélenchon a repéré la faille. Il n’a plus qu’à s’y engouffrer avec les innombrables moutons qu’il tient fermement en laisse pour qu’ils puissent intensément lui lécher le cul.
Et pendant ce temps, tous les Français occupent toutes les autoroutes, nez contre derrière. Mon poste a dit que les pompiers sont dépassés et qu’ils ne pourront tenter de les extraire de ce piège coutumier, que lorsque l’automne jaunira les feuilles vertes et les fera virevolter en tombant sur le gazon. Ouf ! La tranquillité est installée sous mes fenêtres pour un bon bout de temps !
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