L’enfant psychopathe de l’Élysée a envoyé la terroriste gazaouie se la couler douce sur les bancs des universités Qatariennes où elle va perfectionner son métier et revenir très vite en France pour égorger ceux qui ne sont toujours pas convertis aux méthodes de la charia. Et l’innommable Barrot s’en réjouit et s’en félicité, lui qui aurait dû la parachuter au milieu du Triangle des Bermudes. La lâcheté de ce pouvoir est magistrale. Regardez Macron qui s’offusque des images de l’otage de ses amis hamasiens-palestiniens, décharné et creusant sa tombe. C’est pourtant bien lui qui est prêt à reconnaître l’État de Palestine, voyou complice de tous les mouvements terroristes protégés par le Qatar qui possède bientôt la moitié de la France. On est dans une position inextricable qui nous enfonce dans le noir du fond de mon puits au fond de mon jardin, parce qu’un minuscule pourcentage de votants a posé le cul d’un enfant au psychisme inabouti sur le trône de France. Il y a bien eu François 1e, Louis XIV et Napoléon. Ce n’était pas pire, mais ils avaient du panache. Et dans tout cette mélasse, ce qui est terrifiant, c’est l’indifférence totale des français qui se laissent enthousiasmer par une cycliste et un poisson-nageur, arbre qui cache la forêt, mais pour encore combien de temps ?
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