mardi 19 août 2025

vu à travers le tube • rideau !

 

Molière et Shakespeare se sont retournés dans leur tombe et ont hurlé « au viol ! ». La pièce de théâtre était navrante, vulgaire et ennuyeuse. Les psychopathes de l’UE – les volontaires seulement -et le fou-furieux dictateur Zelenski avaient rendez-vous au Trump Bistrot de Washington pour papoter sur les éternelles et banales guerres qui occupent le temps des oisifs et font le tri dans les populations. J’ai bien aimé – le mot est fort – la tête de Macron, un bébé de trois mois à peine qui se prend pour un grand et qui a mis son visage osseux en mode sérieux de sérieux. J’ai bien aimé aussi Meloni  - le mot est fort aussi – qui a juré les grands dieux que jamais elle ne se rendrait au Trump Bistrop avec tous ces gens qui la détestent parce qu’elle dans la ligne des humanistes de la droite dure, impitoyable et efficace. Je ne sais plus si Trump portait sa cravate rouge. Probablement puisqu’il dort avec. Je sais, par contre, que Zelenski a enlevé en dernière minute son teeshirt crasseux qu’il n’a pas lavé depuis son adolescence, pour enfiler l’habit du curé de Cucugnan. Trump a parlé, parlé, parlé. Il a raconté toute sa vie. En gros plan dans mon écran, il a été comme avant : roux de roux. Et l’Ukraine dans tout ça ? Bien malin qui peut savoir si les choses ont avancé ou reculé. Ce qui est certain, c’est que la fin de la guerre, ce n’est pas pour demain, surtout que l’enfant psychopathe de l’Élysée a répété qu’il voulait la destruction totale de la Russie. Je ne suis pas sûr que bomber le torse, quand on n’a pas de muscles, soit une bonne idée pour le bombeur. Idem à Gaza. Voilà que les voyous terroristes de l'Hamas, soutenus par le Qatar qui a déjà acheté la moitié de la France, veulent bien libérer les otages morts, mais en deux fois. Nétanyahou ne veut pas et il a raison. C’est tout ou rien. Moi, je dis que JAMAIS les otages ne sortiront. Leur sortie serait la fin des criminelles voyous soutenus, quoiqu’on en dise, par la Palestine et les 9/10e du monde, des grands malades qui ont arrêté leur croissance au milieu du cordon ombilical.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire