Quand un président envoie un hélicoptère, en Corse, pour déboulonner une statue de la vierge qui sommeillait au bout d’un chemin depuis plus de 2000 ans, quand un président envoie ses militaires pour exfiltrer le dictateur de Madagascar alors qu’il meurt de trouille en pensant mettre les pieds sur le sol algérien pour libérer Boualem Sansal, quand un président remet son pays entre les mains des rampants fadasses invisibles Hollande/Lecornu, quand un président dépouille les malades et les vieillards pour assurer ses fins de mois dans le luxe du pouvoir, on comprend que la France ne soit plus qu’un vaste champ de ruine. Et si j’ajoute les successions de trahisons et reniements de toutes parts, comme la vielle perverse Borne qui jette son bébé dans l’eau de vaisselle, Wauquiez qui cède aux sirènes prostituées des socialos, Rotailleau qui n’appelle pas à la censure du gouvernement voyou, je pense que vous comprenez que rien ne peut être sauver dans le tragique parcours fracassé dans lequel nous nous sommes enfermés. Il faut recomposer, redessiner, reformater l’homme pour lui redonner son aspect originel, celui qui était en vogue quand il croquait la pomme et se promenait, le dimanche, en tirant bobonne par les cheveux. Le retour à la maison est indispensable, mieux, vital. Pour cela, il est indispensable de pousser la porte du cabinet de Freud pour y chercher votre miroir, pour le trouver, pour vous y regarder, pour vous y reconnaitre et pour le traverser. Indispensable ai-je dis ? Oui, indispensable !
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