Écrire un tube ou un puits chaque matin, demande de faire des choix. L’actualité politique devenant un si vaste champ de bataille où les vivants morts se substituent aux morts vivants dans la plus grande indifférence, qu’il m’est de plus en plus difficile de faire un tri. Dois-je répéter la gigantesque lâcheté de l’enfant psychopathe de l’Élysée qui a abandonné la France pour guerroyer dans des contrées invincibles alors qu’il ne sait même pas comme sortir son glaive du fourreau ? Dois-je décrire le tableau pittoresque et ubuesque de Rima Hassan dans son canot pneumatique et à rames qui vient de se faire arrêter par l’armée israélienne qui va la renvoyer chez sa maman ? Dois-je encore exprimer ma fureur quand j’apprends que la crasse qui compose l’Assemblée nationale a reconduit le voyou islamiste Coquerel à la tête de la commission des Finances ? Dois-je répéter inlassablement que Boualem Sansal n’a toujours pas été libéré et qu’il va mourir en prison, sous l’œil indifférent du pitoyable gamin que les Français ont posé sur le trône des François et des Louis ? Dois-je rappeler que l’Algérie humilie la France quotidiennement et que l’Élysée et ses corrompus répètent sans cesse qu’ils maitrisent la situation, du fond de leur cachette, au fond de la benne à ordure ? Dois-je encore affirmer que les pitres pourris socialos et écolos ont déjà signé le pacte inévitable avec les terroristes de LFI pour gagner les élections ? Dois-je redire avec force que rien ne changera tant que l’individu n’aura pas le courage de pousser la porte du cabinet de Freud pour y chercher son miroir, pour le trouver, pour s'y regarder, pour s’y reconnaître et pour le traverser ? Le problème, c'est l’homme qui ne sait même pas qui il est et comment fonctionne son psychisme. Le problème, c'est que cette stupidité sur patte s’imagine voir, entendre et savoir, alors qu’il n’est que la représentation de lui-même qui se représente des représentations. Le réel ne surgit que de la plongée répétitive dans les méandres complexes de l’inconscient.
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