J’en ai encore entendu un, dans le poste ce matin, qui affirmait que Poutine était un grand malade qui voulait s’approprier tous les pays de la terre et même la petite Corse de Napoléon, l’empereur à la main figée et soudée dans le veston. Et si ce petit con regardait du côté de l’Élysée, où est parachuté un déséquilibré mental, un psychopathe incontestable, un lâche qui ne cesse de bomber son torse imberbe, un Popeye et sa boite d’épinards, au côté de son Olive mère et épousée qui le couve et le cache des foules des méchants qui veulent du mal à son petit rejeton inachevé, il comprendrait que le plus malade des deux n’est pas celui qu’on pense. Ce matin la note AAA a encore été baissé. Après les murs, les fondements se brisent. La maison est un champ de ruine et l’enfant a posé son trône sur les grabats en chantant sur l’air de Pierrot : « Je suis le Roi, Moi et moi, Moi et mon petit pois ! » Triste spectacle de désolation que contemple un peuple inerte qui ne veut toujours pas le prendre par la peau des fesses et le jeter dans les piscines des eaux usées d’Hidalgo.
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