vendredi 26 décembre 2025

le puits au fond du jardin • encore un puits pour rien…



 

Ouf ! Noël c’est le passé. Plus que huit jours de fonds de tiroirs à la télé et on retrouvera Mabrouk et Pina et Bastié et les réalités que semblent ignorer Léon XIV, qui, dans son discours rituel du jour de Noël, a ressassé le « aimez-vous les ans les autres » d’un certain Jésus né d’un adultère, avant d’avoir ressuscité Lazare, qui est aujourd’hui PDG de la gare. Depuis que l’homme est apparu sur la terre, il déteste l’homme son frère qui n’est que lui-même et n’aspire qu’à amasser l’or et à accéder au pouvoir, pouvoir qu’il est incapable d’avoir sur lui-même. Et, jamais, il n’a cessé d’être en guerre et en guerre de religions, ce qui est un sacré paradoxe pour Léon. Prêcher la paix ne peut l’instaurer, parce que les sermons ne sont que des sujets de romans, de pièces de théâtres et d’opéras. Tant que l’homme n’aura pas créé et solidifié le lien qui relie son conscient à son inconscient, tout sera comme avant, et c’est bien ce qui se passe depuis l’aube des temps. Donc, la solution n’est ni Léon, ni Vladimir, ni Donald, ni Emmanuel, ni leurs semblables, la solution est soi-même, individu face à Freud qui a montré comment chercher notre miroir, comment le trouver, comment s’y regarder, comment s’y reconnaître et comment le traverser. Conscient/inconscient, les deux faces du miroir reliées et imbriquées. On ne sera plus face à face, mais côte à côte, comme l’a dit un homme connu et mort. J’ai tout dit. Mais comme le monde préfère la guerre, j’ai, ce matin, encore, écrit pour rien.

 

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