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vendredi 12 novembre 2021

vu à travers le tube • de la joggeuse à france inter

L’affaire de la joggeuse qui était - c’est ce qui a été dit - dans une sale affaire devient son affaire qui est probablement loin d’être propre. Je ne connais pas les conclusions, mais je ne peux m’empêcher de penser que pendant cette apparente fausse disparition, on a continué à ressasser le mépris de l’homme, ce violeur de femme qui doit être exclu de la planète. Et si c’était un coup des stupides #MeTooBanlanceTonPorc pour enfoncer encore un peu plus - est-ce encore possible ? - le vilain mâle qui a un très vilain bâton que la femme ne saurait voir. Pourtant, lorsque hier matin j’ai pris mon café avec mon pote Dieu, il m’a dit : « J’ai créé l’homme avec un bâton extensible pour qu’il soit en mesure de combler la femme que j’ai créé avec du désir. Mais je vois bien que je me suis trompé. La fiche qu’on introduit dans la prise provoque toujours une impulsion électrique qui va souvent jusqu’à la destruction. Même ma fille Marie ne me parle plus. Pourtant, je lui ai donné un bel amant avec des ailes en place du bâton, ce qui n’a rien changé. En fait, je vois que l’homme et la femme sont incompatibles. Heureusement que j’ai réussi les plantes vertes et les serpents. » J’ai dit à mon pote Dieu que je ne lui en voulais pas, mais que puisqu’il est capable de créer, se serait sympa qu’il se décrée. L’homme pourrait alors assumer librement sa condition d’homme.

Vous avez entendu ce matin sur Inter la cheffe d’un mouvement féminin a qui la station a donné carte blanche pour trainer Zemmour dans la boue et bien pire. Elle a dit que celui-ci était un violeur, un fasciste, un gougeât, un hitlérien, une sous-merde innommable qui ne pouvait avoir le droit d’être en vie. Et son discours est passé comme une lettre à la poste, sur une radio payée par les français. Ce sont des bons bougres les français, surtout de bons et gros imbéciles.

 

PS : Je ne vote pas Zemmour. Je ne vote pas.    

         


vendredi 5 novembre 2021

vu à travers le tube • conseil aux hommes…

Se faire dévorer est un bon investissement 

pour le mâle de la mante religieuse

Un conseil. Un vrai conseil aux hommes de toutes conditions. Vous êtes visés. Vous êtes dans le collimateur. Vous allez être désignés. Vous allez être jetés aux chiens de la vindicte populaire. Vous allez finir vos jours au cachot ou bien cachés. Pourquoi ? Parce que votre corps est constitué d’un pendulaire attaché au bas de votre ventre. Mon conseil : tranchez-le et vous pourrez finir vos jours heureux au coin du feu, la pipe à la bouche devant la télé en zappant d’Hanouna à Cohen à Cymes afin de mourir mort de rire ou de vomi. Sans pendulaire, les femmes ne grappilleront plus autour de vous et vous serez enfin libre. Mais méfiez-vous, elles savent, les perfides, que vous avez des mains pourvues de doigts. Tranchez-les aussi. N’hésitez pas. Elles assimilent souvent ces dix tentacules à un groupe organisé de pendulaires. Et si vous êtes riche - très riche -, je vous conseille d’attaquer la femelle en justice, elle qui ne cesse de pondre après s’être servi de vous, de pondre des mâles qu’elle va ensuite combattre jusqu’à la mort. Après l’ère primautaire, l’ère secondaire, l’ère tierciaire, l’ère quadragénaire, nous sommes en plein dans l’ère femellaire. Nous sommes foutus. Nous sommes coincés. Il vaut mieux abandonner. Pour en terminer, si vous êtes de ceux qui votent - pas moi -, votez pour Macron, Zemmour, Barnier, Dupont, Corneille, Zidane, Louis XVII, De Funès, ou qui vous voulez, mais par pitié, pas pour Pécresse ou Le Pen. Une Reine sur le trône et vous serez décapités.

mercredi 17 mars 2021

vu à travers le tube (bis) • et une de plus…


Je l’apprends à l’instant et j’en suis consterné. La chanteuse et actrice Demi Lovato - 28 ans - révèle avoir été violée à 15 ans alors qu’elle tournait pour Disney Channel - la chaîne où Mickey et son tonton Piscou violent les comédiennes - et que - cerise sur le gâteau - la souris et le canard - entre deux viols - l’ont obligée à les suivre toute la journée et même la nuit qui a suivi la journée mouvementée et que c’est ce jour et cette nuit qu’elle a perdu sa virginité. Oui, je suis consterné qu’une fille innocente et naïve ou psychopathe bien corsée se fasse violer par une souris et un canard toute une journée et toute une nuit et qu’elle se croit obligée de raconter sa vie à la populace qui, comme moi, n’en a rien à foutre. Si vraiment elle a été affectée, c’est chez le psy freudien qu’elle doit se rendre et foutre la paix aux gens qui ont d’autres chats à fouetter. Les monstres sortent des urnes et des ventres des femmes.      

vu à travers le tube • dames porcel, maillet et autres…

Je ne suis pas particulièrement attiré par PPD’A, ni par le journaliste, ni par l’homme que je ne connais pas, ayant seulement vu et entendu son image dans un écran télé. Des milliers de femmes lui ont écrit, lui ont envoyé des photos suggestives, l’ont harcelé dans la rue et même couché devant sa porte. Aujourd’hui, nouvelles mœurs obligent - elles sont de plus en plus nombreuses à prétendre avoir été violées par l’homme dont elles rêvaient de coucher pour copuler. Elles sont de plus en plus nombreuses à raconter leur vie avec leur héros d'un temps dans les radios et télés, elles sont de plus en plus nombreuses à écrire des livres - comme si elles étaient écrivaines - et à tourner des films - comme si elles étaient cinéastes - pour crier au monde leur désespoir face à un mal de vivre que seule la psychanalyse peut déceler et atténuer sinon guérir et sûrement pas l’opinion publique ou un juge de justice. Dames Porcel, Maillet et autres persistent dans leur ignorance en ignorant qu’elles sont ignorantes quant aux fondamentales des humains. PPD’A et les milliards d’autres monstres - dont je fais partie de la famille - sont nés de la femme coupable de les avoir éjectés violemment de leur ventre où ils étaient si bien et de ne pas leur avoir demandé s’ils souhaitaient entrer dans la vie, cette vie de tarés-fêlés qui se tarent et se fêlent depuis les débuts du monde. Je ne suis en aucun cas coupable d’être sur cette terre que je méprise profondément et je ne suis en aucun cas coupable de mes actes parce qu’ils sont conditionnés par la femme qui a usurpé ma volonté en me pondant comme un vulgaire morceau de chair à boucher. Quant à cette mode absurde qui consiste à vouloir « libérer » la femme, comment comprendre cette naïveté quand on sait qu’on n’a toujours pas réussi à définir le mot « liberté ». Les femmes seraient donc prisonnières et les hommes libres ? Je ne suis pas sûr que vivre sur des fantasmes perfides et destructeurs soient acceptables. Aucun être n’est libre sauf… celui qui a poussé la porte du cabinet de Freud et qui toute sa vie s’est confronté à son propre soi, s’est fait analyser dans les profondeurs des noirs sans fin de leur inconscient. Penser, ça s’apprend toute la vie, mais pas avec n’importe qui.


 

   


mardi 9 mars 2021

vu à travers le tube • et encore l’immonde journée de la femme…

La journée de la femme a fatigué le monde. Elle m’a exténué. Sans interruption, 24 heures durant, sur toutes les radios, sur toutes les télés, sur toutes les pages internet, on a entendu et vu l’éloge de son sexe, la fascination pour son courage mythique, l’admiration pour sa lucidité légendaire et la lamentation sur sa situation de victime atrocement esclavagisée et réduite à l’état de flacon de produit à vaisselle. J’en suis resté sur le cul. Je ne suis pas responsable de la condition de la femme. Je ne suis pas responsable de ma propre condition puisque je ne suis que le fruit - la chair - de la femme coupable qui s’est bien gardée de me demander mon avis quant à mon désir ou non de voir le jour et de goûter à la vie.  Dans ma longue vie, j’ai été marié, j’ai eu des marmites de maîtresses, et je n’ai trouvé que mesquinerie, jalouserie, perversité, J’ai surtout rencontré des petites filles non abouties prenant les hommes pour des abrutis-larbins à leur service. Et je sais que je suis loin d’être le seul à avoir connu ou à connaître cette déplorable-minable situation intolérable. Le monde n’est que problème. Et nombre de gros cons.connes croient pouvoir les résoudre en pétitionnant, en marchant dans la rue, en réveillant la justice, en écrivant des livres - il n’y a jamais eu autant d’écrivaines de bas-étages - en vociférant et se plaignant dans les radios et les télés. Elles auront beau remuer le ciel et la terre qui n’en n’ont rien à faire, tout cela est nul et ne sert strictement à rien. C’est chaque individu de chaque sexe qui doit comprendre qu’il doit sortir de sa bulle empoisonnée et conditionnée que lui a léguée la femme - toujours coupable - qui l’a expulsé de son ventre. Et pour sortir de ce lieu maudit, il faut pousser la porte de Freud qui aidera à découvrir son miroir, à le reconnaitre, à le connaître et à le traverser. Sans la psychanalyse à haute intensité, rien. Rien. Absolument rien.      


lundi 8 mars 2021

vu à travers le tube • jour de terreur…

Jour de terreur, jour de l’erreur, jour de l’inconscience de l’adulte non abouti, en ce jour de la femme. Depuis l’aube des temps la femme est massacrée, découpée, écrasée, déchiquetée, réduite à néant. La femme est assassinée par sa propre chair qu’elle expulse violemment de son ventre sans que l’adulte en devenir qui deviendra très rarement et pour ainsi dire jamais, ait pu donner son consentement. La femme est coupable d’engendrer le monstre. Peut-être est-ce de ce côté qu’il faut creuser. Mais, si déjà son salaire inférieur de 26% à celui de l’homme passait à l’égalité, un grand pas serait franchi. Et ce dernier point est facile à régler : soit un décret du Roi de France entrant en vigueur dès demain matin, soit une loi votée par le parlement, en urgence. Qui va oser, parmi ces élus.es menteurs.euses, pervers.es et ignorants.es, faire le premier pas ? Quant à la violence, je ne vois que deux solutions : 1. La mise à mort de l’homme. 2. Pousser la porte du cabinet de Freud pour tous les êtres humains - femmes et hommes, sans exception - afin de les aider à accéder au stade d’adulte et de compréhension.

 

Ps : pourquoi n’aborde-t-on jamais le problème de l’homme violenté, de l’homme violé, de l’homme désincarné par la femme perverse ?   

vendredi 8 janvier 2021

vu à travers le tube • s’il vous plaît, oubliez-moi…

Une heure pour rabâcher leurs insupportables mensonges. L’un répète ce que l’autre a dit. L’autre dit ce que l’un va répéter. Les rats aux dents pointues se multiplient dans nos cachots où le Roi de France nous enferme depuis bientôt un an. Et les prisonniers torturés esquissent quelques débris de plaintes vite étouffés par l’immonde perversité des médecins et des politiques qui mettent en pratique leurs délires. Et la délation s’amplifie. Et les dépressions se multiplient. Et la pensée humaine n’est plus que peaux de chagrin et débris. On ne cesse de nous dire qu’il faut protéger les vieux alors que la plupart sont déjà morts dans leur mouroir nommé EHPAD. Moi, à 77 ans je suis chez moi, seul, et je ne demande rien sinon qu’on arrête de me faire chier. Je mourrai libre et de la manière que j’aurai choisi. Faire confiance à ses immondicités qui inondent les écrans télés c’est faire preuve de la plus ignoble des lâchetés. Je ne suis ici que par la terrible faute de la femme coupable et je ne vois pas en quoi quiconque pourrait se permettre de m’imposer ses idées surtout que les idées exploitables ne peuvent exister que chez ceux qui ont connu et fréquenté Freud. Et, à part ma psy, deux ou trois personnes et moi, je n’en connais aucun. Alors, s’il vous plaît, oubliez-moi.


mardi 17 novembre 2020

vu à travers le tube • la courbe montante descend inversement proportionnellement à la courbe droite des sexes opposés…

Et voilà qu’en quelques minutes Corne à Virus a viré dans l’autre sens - courbe ascendante passant en courbe descendante - et qu’une flopée de vaccins destinés à tuer la Corne et surtout le vacciné, va être, dans quelques heures, mise sur le marché. Et pendant ce temps, toujours pas de ciné, toujours pas d’opéra, toujours pas de bistrot pour prendre mon café, toujours pas d’hôtel et de restaurant pour fuir quelques jours mon appartement qui commence à me sortir par la tête. Hier, je n’ai pas pu m’acheter des souliers - ma dernière paire est toute trouée - le magasin étant fermé. Par contre j’ai pu acheter - la porte d’à côté - quatre litres de vin, trois bouteilles de whisky et deux litres de pastis. Ça ne remplace pas le confort de mes pieds mais au moins, ça me fait oublier qu’une femme a eu l’indécence de m’expulser de son ventre pour me mettre dans ce monde d’ignobles gros cons dont je suis obligé de supporter les âneries et les divagations. Heureusement je suis à l’aube de la mort et c’est un superbe espoir.

 

Les violences conjugales ont été en hausse de 16% en 2019. Et le Roi de France - qui n’a toujours rien compris - tente de résoudre le problème par la violence en créant des lois et en musclant sa police et sa justice. Si c’était si simple, ça se saurait. Les MTBTP (MeTooBalanceTonPorc) l’ont dit et redit et crié sur tous les toits : les hommes sont des bêtes sauvages et la cohabitation avec les douces Amazon est incompatible. Et moi qui ait été marié dix-huit années et qui ait vécu un enfer - les tranchées de 14/18 étaient plus douces et donnaient plus d’espoir - je suis persuadé que la solution est l’interdiction du mariage et de la copulation pour fabriquer des marmots rejetons. Je suis persuadé que l’homme et la femme doivent vivre séparément et ne se rencontrer que pour jouir ensemble sur le fauteuil de l’opéra à la vue et à l’écoute de Tristan ou de Parsifal et hors les murs du théâtre, se voir de temps à autre pour faire pouet-pouet en toute liberté. La relation doit impérativement s’arrêter à ce stade et tout le monde s’en portera mieux. L’autre solution - et j’y suis encore plus favorable - est que l’homme comme la femme - ils en ont bien besoin tous les deux - frappent à la porte du cabinet de Freud et entreprennent une analyse de longue durée. C’est dans la connaissance de chacun de soi que le couple trouvera l’apaisement ou la rupture comprise et acceptée - ce qui revient au même -. Et comme Freud et rejeté de partout - ce qui est normal dans ce monde d’ignorants et de bornés - nous n’avons pas le choix. C’est la solution 1 qu’il faut explorer et appliquer.    


jeudi 5 novembre 2020

vu à travers le tube • les sociétés en délire…

Désavoué par les députés sur l'état d'urgence sanitaire, le gouvernement active la dernière étape avant le 49.3. Et les ignorants vont encore crier haut et fort qu’on est en démocratie. Lamentable ! Ce que l’on constate dans l’incroyable bordel du soi-disant modèle démocratique des Etats Unis qui a mis à sa tête un taré, devrait nous faire ouvrir les yeux sur le modèle de gouvernance de la France qui se prétend en démocratie alors qu’elle ne cesse d’agir comme une dictature infernale qui conduit obligatoirement à une nouvelle révolution sanglante et définitive. Je le redis : mettre un enfant au monde, aujourd’hui, est un acte irresponsable et sadique qui doit être puni fortement par la justice.

 

Depuis hier, 16h16, les femmes travaillent gratuitement, ce qui veut dire qu’elles sont toujours moins bien payées que les hommes. Et c’est bien normal puisque pour régler leur problème elles papotent, elles discutaillent, elles pétitionnent, elles brassent du vent. Et si - je l’ai écrit ici à plusieurs reprises - elles se mettaient tout simplement en grève dure en implacable. Cesser toutes activités. Grève dans l’entreprise à tous les échelons, grève à la maison en délaissant le mari et les enfants et en n’acceptant plus aucun acte sexuel que ce soit l’époux ou/et l’amant. En quelques heures - mieux que le confinement - elles auraient détruit la totalité de l’économie de la France. Elles sont majoritaires en nombre. Alors qu’attendent-elles ?