vu à travers le tube • dire… ne pas dire…

L’information est restée discrète… voir secrète. J’ai un peu la trouille, mais je vous la donne. La Corse s’enfonce dans les eaux bleues claires de Mère Méditerranée sous les coups du tonnerre, des pluies diluviennes, des ouragans et typhons. Alors qu’on ne parle que de Mélenchien et de sa bande haineuse ou du Roi de France toujours enforté à Brégrancon avec bobonne, les radios et télés mentionnent sur le bout des lèvres la catastrophe qui, plus que faire disparaître l’île, fait disparaître définitivement le fantôme de l’ado inabouti Bonaparte qui s’est métamorphosé, seul, en Napoléon, empereur sanguinaire comme les îles qui prolongent la banlieue de sa ville natale. Et, cerise sur la tarte aux pommes, Météo-France est attaquée de toute part parce qu’elle n’a pas su protéger cette partie du monde, invisible à plus de 2000 mètres d’attitude. Et comme les tempêtes, les inondations, les canicules et sécheresses vont désormais se succéder à une cadence de plus en plus infernale, qui va-t-on montrer du doigt devant ces futures marmites géantes de morts ? Twitter m’accuse d’être haineux. Il m’a restreint ( ?) parce que j’ai écrit que l'homosexualité n'est pas contre-nature, mais un non-aboutissement du psychisme. Ce n’est pas de moi, mais de Freud. C’est lui que Twitter doit restreindre s’il ne peut supporter la vérité. Il pleut. Le ciel est sombre de toutes parts. Mais Météo-France annonce le soleil pour cet après-midi. Alors, je vous quitte sans oublier de vous rappeler que la porte du cabinet de Freud vous est ouverte, que vous pouvez y pénétrer, y chercher votre miroir, le trouver, vous y regarder, vous y reconnaître et le traverser…  Et vous verrez : ce sera gagné !