Depardieu est mis en examen
pour viol sur la personne d’une jeune comédienne… anonyme. Le 7 août 2018, elle
a subi - de la part de Depardieu - une pénétration digitale sous les yeux
d’une caméra de surveillance, dans le salon de celui-ci, puis elle
l’a suivi à l’étage pour une pénétration pénisale. Le 13 août - 6 jours
après - elle retourne sur les lieux du crime, et re-viol.
Conclusion 1 : Depardieu viole des femmes sous les yeux de sa caméra de
surveillance puis les re-viole quand elles reviennent chez lui. Conclusion 2 : une femme violée qui
retourne sur les lieux du crime pour se refaire violer, doit d’urgence pousser
la porte du cabinet de Freud. Cette histoire ne tient pas debout, à moins que
ce soit la société et l’être humain qui aient perdu toutes facultés mentales. L’homme
est devenu la proie de la femme. Soit il se soumet à sa folie, soit il fuit. A
chacun de choisir…
Renata Scotto (celebrating her 46th birthday) sings "Un bel di"
in a concert then is serenaded by the audience with "Happy birthday to
you". Beverly Sills is the hostess and James Levine conducts.
Dans l’Essonne, une adolescente
de 14 ans poignardée ce lundi, un adolescent de 14 ans poignardé ce mardi, tous
deux par des adolescents de leur âge. Et la police sous les ordres du godillot
de l’Intérieur, lui-même sous les ordres du Roi de France, ne trouve rien de
mieux que d’annoncer qu’elle va renforcer ses effectifs pendant quelques jours,
ce qui, comme d’habitude, ne servira à rien. Aujourd’hui, la terreur des citées
ce sont les 12, 13, 14 ans. Comme je ne cesse de le répéter, nous marchons de
mieux en mieux à reculons. Ce n’est pas la ferraille sur Mars, ni la playlist
de France Inter, qui vont résoudre ce problème crucial qui ne fait que s’étendre
dans tous les coins de France. Et si au lieu de parler sanctions - encore et
encore - on parlait pensée et réflexion ? Ma réflexion première et
naturelle est : « Où sont les parents ? ». Lorsque l’enfant
passe au stade de criminel au lieu de passer au stade naturel d’adolescent puis
d’adulte conscient, c’est que les parents ont été des gros nuls et à ce point,
des criminels eux-mêmes. Quand on n’a pas la capacité et la connaissance pour
remplir le rôle de parents, on ne copule pas et on ne pond pas. Être parents
est le métier le plus difficile du monde et dans ce monde taré à l’extrême, on
se reproduit, on se reproduit, on se reproduit à l’infini sans se poser la
moindre question. Là est le sujet. Là est le sujet de notre civilisation. L’école
pour cet apprentissage devrait être obligatoire et la fonction de parents ne
devrait être autorisée que pour les diplômés. Sans diplôme, pas d’enfant.
Point. Et puis - je suis obligé d’insister -, je rappelle qu’en ce moment France
5 propose des consultations gratuites chez le docteur Philippe Dayan,
psychanalyste. C’est donc le moment d’en profiter avant de commettre l’irréparable :
pondre sans savoir ce qui nous attend et ensuite regretter de ne pas avoir tenté de rencontrer Freud.
Pierrette, une amie encline à
encoconner Mary-Pier, torve et obtuse, dégoûte
l’homme en tirant très fort sa tête pour s’éclater dans sa
bouche muette. Les restes au fond du puits, tous dévissés des trognons, fantasment
le gueux à l'éponge branchie du citron.
Fais ceci ! Fais cela !
Ne fais pas ceci ! Ne fais pas cela ! Reste chez toi ! Mets ton
masque ! Roule à droite ! Arrête-toi au feu rouge ! Respecte la
priorité à droite quand elle n’est pas à gauche ! Respecte les femmes !
Respecte les oiseaux ! Respecte ton Roi ! Ne dis pas du mal de ta
voisine ! N’écoute pas Zemmour ! Fuis Le Pen ! Et je pourrais en
écrire des tonnes de livres de 900 pages. Il me reste quoi, en fait ? Depuis
77 ans, je ne me heurte qu’à des interdits. Les sociétés et la France en
particulier n’ont trouvé que l’interdiction et la contrainte pour faire survivre
les pays. L’homme.femme manque particulièrement d’imagination. Je suis né, sans
mon accord, pour être libre. La liberté et la mort sont les seules raisons de
vivre. C’est pourquoi qu’au lieu de nous balader d’un endroit à l’autre sans
savoir pourquoi, le Roi de France serait bien avisé de nous rendre notre totale
liberté et de laisser le méchant virus accomplir sa destinée : exterminer
tous ceux qui ne peuvent le supporter. Plus vite on pactise avec la mort plus
vite on est débarrassé des gros cons, des imbéciles, des ignorants, des
donneurs de leçons, des politiques, des journalistes, des philosophes, des
épidémiologistes et de la playlist de France Inter. La liberté ou la mort. Je
ne vois pas d’autres choix.
Audrey glisse
son corps en travelling arrière, sort de l’image, dépeaute Salomé de son décorps, horsHérode, perd Pauline aux jeux d'entonnoirs
maintes fois appris avec Tonton alors que Martine roule ses billes en jets de pierres dans les fissures d’Agnès qui la
pousse du ventre jusqu’au couloir.
PPD’A était rémunéré 96.666 euros
par mois par TF1. À cette somme il faut ajouter 12.500 euros supplémentaires
par mois au titre d'une clause d'exclusivité. Au total, c'est donc 109.166
euros par mois que gagnait la star de la Une. Il n’y a donc personne pour
prendre les armes ?
Mbappé, le héros des héros qui a terrassé, il y a quelques jours, les
joueurs de babales de Barcelone, a trainé ses pieds fatigués - de quoi ? -
durant une heure trente hier soir. Il a pris une bonne déculottée par les lillois. Je pense que
vous le savez : il est plus payé que PPD’A. Il n’y a donc personne pour prendre les armes ?
Lyon, capitale mondiale de l’andouillette et de la quenelle, voit son maire
écolo-psychotique-fêlé - comme tous les écolos - se transformer en capitale
mondiale de la graine de maïs. Le monde s’enfonce dans la fange irrémédiablement. Il n’y a donc personne pour prendre
les armes ?
Jane-Mary sonde le principe de la trouille impalpable pour
la fascination des tournesols en éventail dont les osselets hurlent le silence incessant de la chair ouverte giclant le
sang.
« Ça recommence ! Ça
recommence ! » est l’avertissement donné à Cooper par le géant qui
tente de le mettre sur la piste avant l’accomplissement, le désastre. Depuis le
commencement du monde, ça recommence sans cesse et ça se reproduit. Et, alors
que nous croyons que tout progresse, tout stagne et finit par avancer à
reculons. Les échanges, les contacts, se font majoritairement par l’intermédiaire
de l’écran. Chacun de nous n’est plus qu’une image qui s’adresse à une autre
image, la nôtre, quoi que nous en pensions. Nous ne sommes plus qu’un reflet d’une
réalité qui reste bien cachée parce que parler sincèrement au grand jour est
pire que le pire des djihadistes. Ceux que nous entendons dans
notre poste ou notre écran mentent et mentent si fort qu’ils finissent par ne
plus le savoir. Les pistes sont irrémédiablement brouillées et le resteront
tant que chaque chose, chaque acte, chaque pensée, ne seront pas entièrement
remis en question. La guerre n’est pas entre les différentes cultures, entre
les religions et la laïcité, entre les riches et les pauvres, entre les noirs,
les blancs et les jaunes, entre les petits commerces et les grandes surfaces,
entre les cons et les moins cons, mais, aujourd’hui, entre la femme et l’homme.
Et c’est la guerre de trop, celle qui met fin à toutes tentatives d’ouverture
vers un monde apaisé. L’hystérie, à tous les échelons, s’est emparée des
individus : les femmes doivent se venger et doivent être vengées de leur
condition de femme, l’homme doit être castré pour le punir de sa condition d’homme. Mais l’hystérie est aussi ailleurs : l’homme.femme étant incapable d’accéder
à sa condition d’adulte, passe sa vie à chercher un Dieu tout puissant pour
le représenter et prendre toutes décisions à sa place et après avoir choisi son
Dieu, il choisit son semblable, lui donne tous pouvoirs et ensuite se plaint d’être
en dictature. La France est le modèle du genre. Après avoir tranché la tête de
son Roi - et de son épouse -, elle a mis un Empereur sur son trône, puis plus
tard après avoir voté une constitution monarchique à 100%, elle a vu se succéder
maints dictateurs, de De Gaulle à Macron en attendant les suivants. Elle ignore
la démocratie qui n’a toujours pas été inventée. Et puis, ce n’est pas parce
que l’homme a marché sur la lune et a envoyé un tas de ferraille sur Mars qu’il
est un héros. Les héros, je les vois aujourd’hui dans le cabinet du docteur
Philippe Dayan, ou Ariane, Adel, Camille, Damien, Léonora, Esther, découvrent la rencontre le silence et la réflexion dans la durée du temps, ou le
médecin comme les patients sont des gens comme tout le monde, angoissés,
terrifiés, malheureux, révoltés, amoureux et qui ont compris ou vont comprendre
qu’ils ne sont pas un et qu’il est grand temps de se pencher sur leur
inconscient. Si seulement le monde comprenait qu’il n’y aura jamais d’avenir si
l’on n’a pas le courage et l’envie de pousser la porte du cabinet de Freud et de
prendre part, enfin, au véritable échange. Trouver son miroir, s’y regarder, s’y
reconnaître et le traverser.