Sarah, la fin d’un monde est proche. Rien n’a plus d’importance, ni les notes, ni le silence quand tu crois que tu chantes faux et que tu chantes quand même.
haG
d’après Gorgouine Valougeorgis
Demains en mains
Sarah, la fin d’un monde est proche. Rien n’a plus d’importance, ni les notes, ni le silence quand tu crois que tu chantes faux et que tu chantes quand même.
haG
d’après Gorgouine Valougeorgis
Demains en mains
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https://fr.wikipedia.org/wiki/Symphonie_no_2_de_Brahms
Johannes Brahms, Symphonie n°2 en ré majeur op73
Allegro non troppo (00:45)
Adagio non troppo (16:05)
Allegretto grazioso (quasi andantino) (25:58)
Allegro con spirito (31:12)
Herbert von Karajan, director
Berliner Philharmoniker
1973
A performance steeped in history: Johannes Brahms' Symphony No. 2 in D major, Op. 73, as played by the Leipzig Gewandhaus Orchestra under the baton of Kurt Masur, in the St. Nicholas Church, Leipzig, October 9, 2009.
Johannes Brahms. Symphony no. 2 in D major, op. 73
Bayerisches Staatsorchester;
Carlos Kleiber, conductor
Recorded live 27 September 1987
L'Orchestre philharmonique de Radio France dirigé par Myung-Whun Chung interprète la Symphonie n°2 en ré majeur de Johannes Brahms.
Enregistré le 19 juin 2015 à la Philharmonie de Paris
Autres anniversaires…
Dans quelques années, quand nous en aurons fini avec la trilogie MacronCastexVéran, quand Covid et ses petits seront un rhume des foins comme tous les rhumes des foins, nous verrons alors les innombrables dégâts - pour rien - que le trio aura su créer à la barbe de tous, de tous les crapauds baveux et bavant qui errent sur cette terre sans jamais se poser la moindre question. Devant les députés, Véran, hier, les a insultés, a dit très clairement qu’ils n’étaient que de la merde. Et ce matin je les ai tous vu ramper dans la rue, dans les magasins, à la gare où l’on peut prendre le train et même certains étaient rampant-assis sur le banc sous ma fenêtre. Nous sombrons. Nous tombons. Notre chute sans appel, nous propulse dans le noir du fond de mon puits au fond de mon jardin qui se remplit plus vite que Macrine contamine. Mon puits est prêt à déborder et je ne sais ce que je vais faire de tous ces grouillis qui ne savent que grouiller et grabouiller dans la grabouille de leur vie ratée. Je suis démuni. Je ne comprends pas. Je ne comprends plus rien. Je ne reconnais plus le monde où j’ai vécu tant d’années. Je ne suis plus de ce monde et je dois, malgré tout faire avec lui. Heureusement - quelle chance - la mort est indissociable de la vie. Bientôt, je vais retourner dans l’espace-temps du néant où j’étais heureux avant d’avoir été conçu contre mon gré. Je vais donc patienter et continuer d’exprimer ma haine pour l’humanité.
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https://fr.wikipedia.org/wiki/Quatuor_%C3%A0_cordes_de_Debussy
Claude debussy, Quatuor à cordes
I- Animé et très décidé
II- Assez vif et bien rythmé
III- Andantino, doucement expressif
IV- Très modéré - En animant peu à peu - Très mouvementé et avec passion
Capet String Quartet
1st violin: Lucien Capet
2nd violin: Maurice Hewitt
viola: Henri Benoît
violoncello: Camille Delobelle
Recorded 1927/1928
Claude debussy, Quatuor à cordes
Violin 1 Isabelle Hur,
Violin 2 Youngduk Goh,
Viola Jiyoon Kim,
Violoncello Jiyoung Lee
C. Debussy : String Quartet in g minor, Op.10
I. Animé et très décidé
II. Assez vifet bien rythmé
III. Andantino
IV. Trés modéré- Très Mouvementé
Quartet IDEA
IBK Chamber Hall, Seoul Arts Center
2019.2.22
Autres anniversaires…
https://soclassiq.com/fr/anniversaires/today/
Taubira : « À gauche, nos convergences sont suffisantes pour nous permettre de gouverner ensemble cinq ans. » À gauche, à droite, au centre, aux extrêmes, en haut, en bas, dedans, dehors, nulle part l’homme a besoin d’être gouverné. Je parle bien de l’homme, cet animal qui est censé avoir accédé au stade d’adulte. Et j’ai beau regardé à gauche, à droite, au centre, aux extrêmes, en haut, en bas, dedans, dehors, je n’en vois nulle part ou si peu. Être homme, c'est avoir accédé à la conscience et ne pas être la marionnette de son inconscient. Ce n’est que ça. Et ne peut être homme que celui qui a poussé la porte du cabinet de Freud pour y chercher son miroir, le trouver, s’y regarder, s’y reconnaître et le traverser. C’est de l’autre côté que l’on comprend les rouages de la pensée et par conséquence l’échec total de toutes les civilisations. La terre est peuplée de morts-vivants dont l’immense majorité sont nés morts. Pour vivre, il faut se nourrir, certes de pissenlits ou de pattes de poules sur marmelades, mais surtout d’images et de mots qui activent notre psychisme. Ce n’est pas notre cœur qui est notre moteur de vie, mais bien notre pensée. Penser et surtout jamais comme les autres parce que nous ne sommes pas les autres et qu’en y voyant de plus près nous sommes obligés de constater que les autres ne sont pas et que seuls nous - notre pensée - existons éventuellement. Seule notre pensée est capable de renverser les montagnes et de fracasser une armée en une omelette où l’on peut y lire l’histoire pitoyable du monde. Freud est le seul penseur qui a pensé. Nous ne sommes pas nous et pour le devenir nous devons nous déformater, nous défabriquer, nous dérouler, reprendre la forme initiale qui était notre avant notre conception. La femme coupable nous a jeté dans ce monde sans même connaître les conséquences de son crime. À nous de tout gommer et de nous réaliser. Pour cela il faut suivre les principes de Freud. Hitchcock (Marnie) et Lynch (Twin Peaks) ont tout expliqué. Il suffit de regarder et réfléchir…
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https://fr.wikipedia.org/wiki/Antonio_Caldara
Antonio Caldara, Te Deum per soli, coro e orchestra
Patrizia Ciofi, Sara Allegretta ⎮ soprano
Roberto Saccà, Mirko Guadagnini ⎮ tenore
Michele Pertusi, Nicolas Rivenq ⎮ basso
Orchestra e Coro del Teatro La Fenice
Direttore ⎮ Riccardo Muti
Teatro La Fenice (14 dicembre 2003)
Philippe Jaroussky sings Antonio Caldara : Airs Oubliés, with Concerto Köln
Antonio Caldara, Stabt Mater op 20
Bryghia Cantat, Brugge en orkest'Chapelle de Lorraine' met
Hilde Coppé, sopraan
Regula Boeninger, mezzo
Koen Vereertbrugghem,tenor
Lieven Deroo,bas
20 april 2012
Autres anniversaires…
Une fois encore et une fois de plus la France était dans une trouille paralysante depuis plusieurs jours dans l’attente des annonces du Roi de France. Et les commentaires les plus farfelus, les plus indécents, les plus tordus - surtout en provenance de la médecine - fusaient de partout, de la rue aux réseaux sociaux en passant par les radios et télés. Le Roi qui est vite retourné auprès de bobonne après le Conseil de Guerre, a envoyé ses corbeaux au casse-pipe, le hibou Castex sans ses lunettes et le véreux Véran qui nous ont saoulés pendant près d’une heure. Une fois encore et une fois de plus ils n’avaient rien à dire, aussi ont-ils meublé dans la guimauve : les français y sont beaux y sont gentils et la France est le plus grand pays du monde parce qu’elle a gagné la course à la vaccination. Tout est merveilleux, mais… mais je ne sais quoi. Jauge pour tous pour les réunions sauf… pour les lieux de culte et pour les meetings politiques. Ah bon ! Et pourquoi ? Et pourquoi les journalistes n’ont-ils pas posé la question ? Donc, Covid n’entre jamais dans les églises, jamais dans les lieux où l’on prépare la réélection - que l’on soit pour ou que l’on soit contre - de Macron 1, Macron 2 à partir d’avril 2022 ? Les hiboux ne nous prendraient-ils pas pour des cons ? L’intervention des jumeaux n’aurait-elle pas été uniquement une démarche politique pour prouver - s’il en était besoin - le génie du Roi, génie comparable à celui de Charlemagne ou de Napoléon ? Cette intervention était-elle vraiment utile ? Et puis, hibou Castex à bien marteler que le télétravail devenait obligatoire. N’y-a t-il pas déjà suffisamment de schizophrènes dans ce pays ? Bref ! Nous ne sommes pas plus avancés, si ce n’est que nous savons - c’est confirmé - que ce n’est pas demain que nous retrouverons nos libertés.
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https://fr.wikipedia.org/wiki/Gianna_D%27Angelo
Gianna d'Angelo as Ophelia from Hamlet..."A vos jeux, mes amis".
1960
Gianna d'Angelo in Lucia's Mad Scene "Il dolce suono...Spargi d'amaro pianto"
1960
Gianna d'Angelo - Musetta's Waltz - La Boheme
1959
Gianna D´Angel canta ROMEO y JULIETA, en Seatlle
1967
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Autres anniversaires…
https://soclassiq.com/fr/anniversaires/today/
C’est l’absurde obéissance aux Dieux et Rois inventés qui ferme la porte à toute évolution de l’homme vers la liberté. À Bruxelles, certains cinémas et certains théâtres ont fait fi de la loi imbécile. Ils ont ouvert leur salle au mépris de la loi. Le bon sens et le courage de ces empêcheurs de tourner en rond me redonne un peu confiance. Tous ne sont pas des crapauds baveux et rampant comme on le voit en France depuis deux ans. Le pays qui a coupé la tête de son Roi est tombé dans la pire des soumissions, esclaves pitoyables obéissant à leur enfant-Roi.
France Info informe que l’Afrique du Sud pleure Tutu, un homme qui est mort comme il se doit. Avez-vous déjà u un morceau de terre - un continent - pleurer ? Les bébés pleurent quand ils veulent faire caca. Les femmes pleurent quand leurs amants les ont plantées. L’homme pleure quand la femme coupable le pond dans ce monde d’abruti. France Info doit revoir son langage.
3 276 000 individus au cerveau lézardé ont regardé « Les Choristes » hier soir sur France 2, remportant ainsi la palme avec 16% d’audience. C’est au goût pour les navets indécents que l’on voit les capacités de la pensée de l’homme du XXIe siècle. La chute dans le noir du trou du puits au fond de mon jardin se poursuit en s’activant dangereusement. C’est quand mon puits va déborder de grouillements que les espèces et les races font se fondre dans les roches ancestrales venues du néant.
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https://fr.wikipedia.org/wiki/Ouverture_tragique
Brahms: Tragic Overture Op.81 /
Orchestre Philharmonique de Berlin
Herbert von Karajan, direction
(1985)
Johannes Brahms Tragic Overture op.81
London Symphony Orchestra
Carl Schuricht, direction
Live recording, London, 31.I.1964
Johannes Brahms Tragic Overture op.81
Philharmonia Orchestra
Otto Klemperer, direction
Studio recording, London, 29.III.1957
Johannes Brahms Tragic Overture op.81
Columbia Symphony
Bruno Walter, direction
1960
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