samedi 17 février 2024

le puits au fond du jardin • regarde la lune et pas ton doigt…

 
 
Navalny n’était tout de même pas si net. Avant d’entrer en dissidence avec son tsar, il était plutôt du côté des terroristes. Le dictateur s’est vengé comme l’aurait fait son prédécesseur Yvan de Terrible. Et cela ne justifie en aucun cas qu’un État – voir plusieurs – se mêle des affaires d’autrui, sauf s’il souhaite avidement l’avènement de la troisième guerre mondiale, ce qui semble le cas du jeune ado au psychisme inachevé, réfugier sous les jupes de sa maman, qui insulte le maitre du Kremlin à cor et à cri. Comme me le disait très justement ma grand-mère Florine : « Ne t’occupe pas de ton voisin, tu as suffisamment à faire avec toi-même ! » Et j’espère que vous savez que le voyou Zelensky fait la tournée des gogos pour recueillir leur obole qui se monte pour la France à quelques centaines de milliards alors que la plus grande partie de son peuple est surendettée et que les paysans ne savent plus à quels saints se vouer tant leur détresse est surréaliste. Pauvres imbéciles qui votent pour tous ces va-t’en guerre aux cerveaux complètement laminés.

 

Si le monde bien comme il faut, le monde bien sous tous rapports, le monde des curés qui copulent avec les bonnes sœurs, tentent d’assassiner Cnews, c’est que la chaine aborde des vrais sujets, ceux qui intéressent les français et tente de faire comprendre à quel point la France ne cesse de s’effondrer. Moribond et au bord de la dictature Kim Jong-unième, le pays sombre de plus en plus vite dans le noir du trou du fond de mon puits et les imbéciles ignares du pouvoir poussent si fort que bientôt, ils seront engloutis avec lui. Après l’ignoble Macron, sera l’inconnu. Le Pen ne sera pas élue. Le vide sidéral devra être comblé. Et c’est peut-être bien là que s’engouffrera Mélenchon. C’est alors que les français, incapables d’inventer la démocratie, vont crier tous en chœur et en mesure : « Au secours Poutine ! » ou un autre Kim Jong de service, un vrai Mélenchon authentique. Irréversible le malheur, surtout quand on l’a si bien cherché !    

vendredi 16 février 2024

le puits au fond de mon jardin • un songe…

 



 

Mais comment puis-je me tromper à ce point ? Moi qui croyais qu’en ce vendredi 18 février de l’année 2024, après l’avènement du magicien mort cloué sur une croix pour racheter tous nos vilains péchés et nos vilaines pensées, que le problème de la France était la misère de ses chefs encore plus misérable que la misère de son peuple scandaleusement anémié, l’attaque contre la liberté de la presse, les fins de mois des contrôleurs SNCF, la mort annoncée des paysans de toutes espèces, l’islamisation du pays en route pour la  charia, les gros rats dans les rues de Paris, la montée fracassante des égorgeurs dans les centres-villes, la mutation des hommes en violeurs de toutes les femmes de tous âges, la dangereuse succession du Roi Macron en une dictature à la Kim Jong-un de Mélenchiien ou l’une ou l’un de ses chiottes ou chiots, la généralisation de l’ignorance, et surtout, le retour de l’humain à la condition animale, je m’aperçois qu’il n’en est rien. Le malheur, le plus grand malheur qui puisse arriver à la France, malheur irréparable dont la nouvelle est tombée dans la nuit du 15 au 16 sur les ondes radios et dans les écrans télés : Mbappé, le grand, l’immense, l’énorme figurine des supers marchés, le héros de la frappe du ballon, le gourou des foules abruties, quitte le PSG, où durant des années, il s’est posté en embuscade devant une cage, a attendu patiemment qu’un subalterne pose le ballon devant son pied et a tapé, tapé si fort que le ballon est entré dans la cage. Un vrai héros. Dans un autre monde et dans une autre époque, j’ai connu des héros, des vrais, des pensées dont j’ai tenté de suivre les valeurs. Puis-je citer, Ozawa, qui vient de mourir ; Abbado, qui est mort ; Hitchcock qui a réinventé le cinéma ; Godard, qui l’a déconstruit pour le reconstruire différemment ; Molière, qui a beaucoup observé la femme – ridicule ou savante - ; Modigliani, qui a déformé les corps ; le Marquis de Sade, qui a couché sur le papier le psychisme des hommes ; Dumas, qui a conté les aventures mouvementées d’Edmond Dantès ; Freud, qui a analysé les rouages de la machine humaine et les a synthétisés dans sa thérapie psychanalytique. Et quand je constate qu’un bonhomme sans importance qui tape dans un ballon est le modèle du monde, je ne peux croire que je vis dans ce même monde. Et je ne puis m’empêcher de me poser la question qui me hante depuis que la femme coupable m’a expulsé de son ventre : suis-je ou ne suis-je pas ? J’ai peut-être enfin ma réponse : je ne suis qu’un songe qui s’estompe chaque jour en tombant dans le noir du fond de mon puits au fond de mon jardin. C’est tout pour aujourd’hui.       

jeudi 15 février 2024

vu à travers le tube • freud et rien que freud…

« Un régime totalitaire s’installe graduellement grâce à la complicité de votre indifférence » a dit Christine Kelly, une des pensées les plus passionnantes de Cnews. À son instar, je suis fier de répéter inlassablement que tous les pays du monde entrent lentement, mais sûrement, dans les pires des dictatures et que la France ne sera pas la dernière à entrer dans le nouveau jeu laminoir, d’autant que jamais, dans quelque pays que ce soit, la démocratie n’a pu exister, puisqu’elle n’a jamais été inventée. Seul un monde adulte en aurait la capacité. Mais, hélas, le monde que nous vivons, comme les précédents, est un monde d’inaboutis psychiques qui, en regardant une pipe, dit : « Ceci est une pipe ! ». Faire avec, jusqu’à la fin de notre civilisation, fin si proche que le monde tourne le regard pour échapper à sa propre honte : « Voilà pourquoi nous en sommes où nous en sommes ! » Macron insulte Nétanyahou et son soutien aveugle à l’Ukraine prépare la prochaine retraite de Russie. La dématérialisation généralisée enveloppe l’homme dans son linceul. La faim va se généraliser dans tous des coins et les recoins et les milliardaires vont régner sur des peuples d’ossements couvrant la surface de la terre. Et pour sauver le monde, le toujours même Macron invente l’uniforme à l’école, un trait de génie, qui va faire de nos marmailles des héros de légendes. Nous sommes tous des Walter White, incapable de comprendre l’humanité de Jesse Pinkman. Nous semons sans cesse le mal qui nous ronge. Et si la lumière ne surgit pas, c’est que l’individu refuse de chercher son miroir, de le trouver, de s’y regarder, de s’y reconnaître et de le traverser. Si vous me lisez tous les matins, vous savez de quoi et de qui je parle. Freud et rien que Freud, la solution que personne ne veut. Alors, SVP, fermez votre clapet et mourez en silence !   


mercredi 14 février 2024

vu à travers le tube • vaches et trains...

Hier, la liberté de la presse s’est pris un coup de massue sur la tête. Cnews et ses dérivées ont été placées en résidence surveillée par les verrues du pouvoir qui prépare l’arrivée des dictatures. France Info et France Inter, BFM, restent en liberté, elles qui se cessent de glorifier les trous béants du psychisme de l’enfant de l’Élysée. Ne pas oublier que, lors de la conférence de presse du Roi de France, Laurence Ferrari a posé la question pertinente, la flèche empoisonnée qui a vexé Sa Majesté. Ne pas oublier que les élections européennes sont proches et que les amis de Le Pen vont humilier les amis de l’enfant. Tout est bon pour assassiner l’opposition aux caprices royaux, même s’assoir sur les principes fondamentaux élémentaires dont se glorifie la France de Voltaire qui est mort depuis bien longtemps. Et, cerise sur le gâteau, les trains qui ne partent et n’arrivent jamais à l’heure et qui s’arrêtent trop souvent en raz campagne pour regarder paître les vaches, seront en grève pour les grands départs dans les neiges enivrantes, les contrôleurs n’en pouvant plus de contrôler. Du calme les vacanciers. Les dictatures arrivent et ils ne pourront plus vous embêter. C’est deux fois qu’ils vont vous contrôler. Et puis, les trains partiront et arriveront à l’heure et les vaches pourront à nouveau regarder passer les trains... paisiblement !

mardi 13 février 2024

le puits au fond du jardin • brunehilde et la suite…

 



 

Une vague d’indignation parcours la terre comme si le monde découvrait soudain le miroir qui lui renvoie la laideur de son image. Trump aurait tenu des propos affligeants et irresponsables. Waouh ! Quand donc et à propos de qui et de quoi ? L’entre-soi n’est pas un crime. C’est une protection et une richesse. Et pourquoi les fourbes se taisent-ils lorsque Macron, Mélenchon, Bompard, Panot, Biden, Zelenski, Duhamel (BFM), Salamé, Ruquier, les culs terreux de la télé, les culs véreux de la politique, les culs éclatés du cinéma, les culs publics exposés et explosés, ouvrent la bouche pour cracher leurs vermines ? Les peuples s’indignent pour la bagatelle alors qu’ils se terrent devant l’humiliation que leur infligent leurs chefs. La lâcheté, l’ignorance, l’indécence, les tiennent entre leurs griffes. Se dégager, rentrer chez soi et fermer la porte à double tour jusqu’à ce que la race des loups s’éteigne à tout jamais. Mayotte relance le sujet de plus en plus vivace. L’étranger, l’immigration, doivent être combattus sans relâche. Apprendre à comprendre que la vie n’est que soi et que les autres ne sont que projections et fantasmes est le chemin le plus court pour grandir et franchir le cap. C’est en adulte que l’autre peut être abordé. C’est alors que de fantasme, il pourrait devenir richesse si l’on triomphe de cette ignorance latente qui plonge le monde dans le lourd sommeil de Brunehilde et de la suite connue de tous.     

lundi 12 février 2024

vu à travers le tube • mayotte… l’alerte est donnée !

Mayotte est l’image de ce que la France sera dans une ou deux décennies et peut-être même avant. La suppression du droit du sol et les frontières maritimes sont un excellent début pour tenter de sauver la situation et si le macronisme était prévoyant, les mesures adoptées pour l’île devraient se déplacer dans l’instant, sur le continent. Mare de l’immigration. Mare de l’étranger qui s’introduit dans notre propriété. Mare des misères qu’ils apportent dans leurs sacs à dos, misères qui s’ajoutent à nos propres misères et qui nous vident de notre sang. Je ne supporte plus le mélange des couleurs et j’espère que les enfers engloutiront les sauvages chiottes et chiots de Mélenchien, ainsi que leurs alliés, afin que la France retrouve un peu de sérénité. C’est pourquoi je suggère que l’hommage injustifié qui devrait être rendu à Badinter, se substitut à un hommage étourdissant et lumineux à Seiji Ozawa, le musicien, le chef d’orchestre, l’homme adulte, sachant et achevé qui vient de nous quitter dans le silence assourdissant des peuples et de leurs dirigeants. C’est vers son monde qu’il faut se tourner, vers ce monde où l’on rencontre des femmes et des hommes qui ne sont qu’humanité et qui – tel Barenboïm – œuvrent en permanence pour la paix dans le monde. Comment les vivants - morts - peuvent-ils à ce point se tromper ?   


dimanche 11 février 2024

chronique des choses à peine dites • salamé et non salomé qui a baisé la bouche de la tête de jean…


 


 

La légende veut que Molière soit mort sur scène, en pleine action. Salamé, la nunuche godiche de France Inter et France 2 – c’est pareil – et épouse du pseudo-philosophe politicard Glucksmann, s’est beaucoup agitée, ce samedi sur la chaine publique, pour corriger cette légende insensée : « Molière est mort chez lui ! » a-t-elle proclamée. « C’est vrai ! » a renchéri Dechavanne, le bouche-trou échappé de son EHPAD. J’en suis tout retourné. Une telle vérité de la part de deux ignares ignorants, c’est si rare que les mots sortis de pareilles bouches devraient faire l’objet d’un hommage au Panthéon où notre ado au psychisme inabouti pourrait se faire jouir en déclamant un de ses fameux discours qui endorment les petits enfants.

vu à travers le tube • duperey et godrèche…

« Je vais me faire taper dessus, mais je pense que tout cela est extrêmement exagéré. Six ans avec un réalisateur, sous emprise, je veux bien, mais quand même consentante non ? Je ne sais pas trop quoi penser de ce truc-là, mais je n’aime pas trop les chasses aux sorcières tardives. » Anny Duperey règle sainement le compte de Godrèche, comme j’aurais pu le faire à la télé si j’avais sa célébrité. La roue ne cesse de tourner et les délatrices professionnelles feraient bien de se méfier, leur tête ne tenant que par un fil sur ce corps qui ravage toutes les sociétés que l’on dit évoluées. Ras-le-bol de toutes ces accusations hors du champ de la justice et du privé. Et, je me demande vraiment pourquoi cette lâcheté chez tous ces hommes qui ne cessent d’être humiliés et violés par toutes ces bobonnes qui se prennent pour Turandot -  le désir de venger leurs ancêtres en s'identifiant au passé - et qui gardent le silence. La femme coupable qui ne cesse de jeter en pâture la marmaille à la société de plus en plus sauvage, serait bien avisée d’analyser ses comportements avant de condamner l’injure que souvent, elle a provoqué. La loi doit-être remodelée par des mains expertes en tenant compte des réalités psychiques des êtres. Hurler vengeance sur les plateaux télés ne peut qu’envenimer la chose, attiser les haines et dresser à tout jamais un mur de pierre entre les sexes. La justice et la psychanalyse sont les deux sagesses que le monde doit intégrer afin de rétablir le chainon manquant dans la liaison défaite depuis trop longtemps. Je ne me fais aucune illusion. La civilisation n’est pas prête. Elle a trop à faire avec son déclin et sa fin inexorable, si proche de ce début de XXIe siècle.     

samedi 10 février 2024

chronique des choses à peine dites • herbes folles…



 

herbes folles

doigts courants

sur le noir et blanc

des bécarres et bémols

 

pliez sous le vent

qui chante les mélodies

surgies des mélancolies

des troubles naissants

 

j’ai vu ses doigts courir

des toniques aux sensibles

dévoilant l’impossible

jouissance du pire

 

j’ai entendu le big-bang

de la volupté des sens

réveiller mon impuissance

devant le génie de Wang

 

poèmes improvisés en vers ou parfois en prose

haG


chronique des choses à peine dites • la nature reprend le dessus…


 


 

Dans la nuit du 9 au 10 février, la Seine Musicale a été le théâtre du néant chantant, de la vulgarité absolue et de l’autosuffisance. On s’est franchement ennuyé et fait hurler dessus pendant la cérémonie des Victoires de la Musique. Ce n’était qu’un mauvais moment à passer. (Sophie Delassein – L’OBS)

vu à travers le tube • l’ombre et la lumière…

 

Seiji Ozawa
Seiji Ozawa, immense musicien, chef d’orchestre magique et humaniste, est mort. Robert Badinter, avocat politicien, père de la loi qui a supprimé la peine de mort, est mort lui aussi, un jour après. Dès l’annonce du décès de ce dernier, la terre s’est arrêtée de tourner et toutes les stations radios et chaines télés se sont ruées sur le passé de l’homme, sur ses mérites, sur son humanité, sur sa grandeur, sur tout un tas de trucs et machins démesurés que seul un héros est en capacité de réaliser. En un claquement de doigts, l’homme est devenu Siegfried, Superman, Goldorak, Inspecteur Gadget. Cependant, si l’on ne met plus à mort les criminels, on continue de priver les populations de l’essentiel, on persiste dans les guerres où meurent chaque jour des milliers d’innocents, on entretient l’ignorance pour mieux exploiter les démunis. Alors, je ne vois pas en quoi la suppression de la peine de mort est un sujet, sinon celui du désencombrement minimaliste des prisons. Et de l’autre côté, du côté de la lumière, un homme, un des rares dont on peut dire qu’il a été un homme, Seiji Ozawa -  l’humanité faite homme – chose rarissime, nous a quittés. Il était un des plus importants musiciens de notre monde, un des plus grands génies de la direction d’orchestre, un maître absolu, suivi par ses pairs et les jeunes générations, un homme apprécié pour son immense talent et sa générosité dans ses relations. Pas une station radio, pas une chaine télé – dont France 2 trop préoccupée par ses pitoyables Victoire de la Musique – n’ont évoqué son nom. Alors, voyez-vous, pour moi, la peine de mort n’est qu'une goutte d’eau dans un océan déchainé !     

vendredi 9 février 2024

chronique des choses à peine dites • la vengeance de la nounou…



 

Une nounou a placé un produit ménager dans plusieurs boissons de la famille qui l’emploie. Alertée par l’odeur suspecte du produit, elle n’a pas été intoxiquée. La nounou, qui s’occupait depuis septembre de trois enfants âgés de 3, 5 et 7 ans, n’avait selon son avocate « pas d’intention homicide », puisque le produit utilisé n’est pas létal. Il s’agissait d’un nettoyant multi-usage. La nounou voulait surtout donner une « leçon » à ses employeurs, qui avaient refusé de l’augmenter. La suspecte était sous le coup d’une Obligation de quitter le territoire (OQTF). Avant-hier, le parquet a ouvert une information judiciaire pour tentative d’empoisonnement et usage de faux documents administratifs.


vu à travers le tube • dure matinée…

Avant de passer au sérieux, je remarque que le cinéma n’est qu’une ruche de mâles violeurs qui s’acharnent sur toutes les naïves ignorantes donzelles qui montent dans les chambres d’hôtel des prédateurs ou les accompagnent aux toilettes des grands restaurants parisiens pour quémander le rôle-titre d’Emmanuelle ou de Madame Bovary. C’est dégueulasse le cinéma. Plus jamais je ne remettrai les pieds dans ces salles mal éclairées où l’écran est rempli de tarés qui ne savent pas que la vie ne peut être vécue que dans les cellules des couvents.  Je passe au sérieux. Belloubet, la gaucho aux convictions totalement opposées à celles d’Attal, et nommée par l’ado au psychisme inabouti, à l’Éducation nationale, succède à Attal lui-même. Et comme Attal commençait par faire son travail à ce poste, plutôt bien, il a été viré pour mieux monter en grade. Devant cette situation terrifiante – ubuesque en quelque sorte -, je me demande qui va diriger le mammouth agonisant. La ministre, son chef direct ou l’enfant incompréhensible et malade qui a usurpé le trône du Roi de France – élu avec 17 ou 18% de suffrages - ? Faut-il évoquer l’insupportable Bayrou qui vomit sur la non-politique menée par celui qu’il a contribué à mettre en place, qu’il insulte, lui et son gouvernement et qui impose à ses moutons rampants de rester dans la minoritaire majorité macronienne ? Et pendant ce temps, les islamistes s’implantent, tranchent les cous, violent les femmes, jeunes comme dans le cinéma, mais aussi les vieilles, les pauvres ne sont plus que larmes, la médecine disparaît, l’école baisse les bras, l’intelligence artificielle ronge l’intelligence naturelle et j’attends depuis deux mois et neuf jours un plombier pour colmater la fuite de mon chauffe-eau. Et pire encore, Biden, complètement gâteux, va peut-être en reprendre pour quatre ans, à moins que Gaza ou/et l’Ukraine ne règle tout ça en quelques instants, la bombe atomique n’ayant pas été inventée pour dormir dans un placard de cuisine. Pour en terminer ce matin, je rappelle que Miller, le rat des plateaux télés depuis une éternité, N’EST PAS psychanalyste, parce qu’un thérapeute digne de ce nom, ne passe pas sa vie à faire le clown sur les plateaux TV. Son comportement est totalement étranger à la thérapie de Freud qui n’est que la solution pour régler les problèmes de la vie, notamment ceux cités ci-dessus.   

jeudi 8 février 2024

vu à travers le tube • ils se sont tant aimés…

Selon différentes presses parisiennes, Bayrou aurait eu un coup de sang quand je ne sais qui l’a humilié en lui proposant les postes tant enviés de ministre des Armées et de l’Éducation nationale. Il eut préféré qu’on lui propose le poste de Président de la France, afin de succéder aux célèbres libertins François 1e, Louis XIV, Napoléon et quelques autres. Un coup de sang ? Jamais François n’a élevé la voix. Et c’est pour cela qu’il parle énormément et sans jamais se fatiguer. Parler ne fait pas bouger les morts. Ça il ne le sait pas. Bref, il a refusé ces ministères parce qu’il est en désaccord total avec la politique de l’ado au psychisme inabouti qu’il a pourtant propulsé et tant aimé. Ainsi finissent les belles histoires d’amour. Quant à Xavier Bertrand – un autre farfelu de la politique -, il persiste et signe. Il veut être président pour éliminer définitivement le Rassemblement National qui prend le thé tous les après-midis, sur les Champs Élysées, avec Staline, Poutine, Yvan le Terrible et Boris Godounov. Il ne sait pas que pour éliminer le Rassemblement National, il suffit de fermer la porte aux immigrés islamistes, réduire en cendres la délinquance généralisée et éradiquer la pauvreté. Comme Bayrou, il ne sait pas. Tant que l’ignorance sera le moteur du monde – j’y ajoute le mensonge et la perversité – aucun pouvoir – AUCUN – ne sera capable de résoudre le problème ahurissant des sociétés qui ne peuvent être sauvées que par l’homme lui-même, s’il comprend qu’il doit chercher et trouver sa propre personnalité, son libre-arbitre et ne pas suivre stupidement les discours des ignorants des radios et télés. Et pour cela, il peut se faire aider. Ce n’est pas pour les chiens - ni pour les chats - que Freud a élaboré sa thérapie psychanalytique. Je propose. À l’homme de disposer.    


mercredi 7 février 2024

vu à travers le tube • encore les ignorances…

Les ignorances n’ont pas de limites. Dans un petit village de France, le maire a organisé un référendum pour proposer aux habitants l’interdiction du smartphone dans tous les lieux publics – cafés, restos, cinéma, opéra, musée, piscine, MJC, conservatoire de musique, patinoire, et dans la rue et sur la place publique et dans le parc de verdure -. Résultat du référendum organisé ce dimanche : 167 voix pour, 0 contre, 0 abstention. Je suppose qu’il s’agit d’un village-crèche ou d’un village-EHPAD, où cohabitent 167 moins de 2 ans ou 167 plus de 97 ans, en moins que ce soit mitigé. L’âge des habitants n’est pas le problème. Le problème, c’est le maire. S’il s’agit de protéger les enfants, l’individu se substitut à l’autorité parentale. S’il s’agit de la tranquillité dans l’espace public, l’individu instaure la dictature le plus féroce que le monde n’a jamais connu. Le petit boitier dérangeant a été inventé pour être porté sur soi et pouvoir téléphoner où que l’on soit et même regarder l’inconnu du nord express, le journal télévisé de Lapix, la pub d’Omo qui lave plus blanc que le blanc de Persil et même des films de cul. C’est ça la liberté supposée que la France nous vante à tous les coins des rues. Les interdictions, sur tous les sujets de la vie, s’empilent, s’entassent, débordent, et le citoyen est réduit à un tel degré d’impuissance, que mêle la salade qui pousse dans mon jardin a infiniment plus de libertés. Mieux ou aussi bien : les grands manitous de la médecine, ceux qui ont fait de longues études pour ne plus s’occuper des malades – les plateaux de télés sont plus agréables – ont déclaré hier – en lien avec le cancer du Roi d’Angleterre dont je me fous éperdument – que le cancer et les autres maladies n’avaient jamais une origine psychologique ou psychique, qu’il fallait oublier ces bobards et bien comprendre que dans la vie, tout est scientifique. Waouh ! Encore des ignorants qui vantent les mérites des sciences scientifiques qui détruisent le monde. Et pourtant, qui pourrait nier que tous nos actes partent de notre pensée, élément moteur de notre psychisme. Si la naissance du cancer provient d’un élément explicable scientifiquement, qui a donné naissance à cette anomalie perturbatrice ? C’est vers notre inconscient qu’il faut nous tourner, car c’est bien lui – je veux dire nous – qui somme à l’origine du problème. La médecine qui oublie le psychisme est du charlatanisme. Aucun médecin ne devrait pratiquer sans l’aide permanente du psychiatre et/ou du psychanalyste. Plus nous avançons vers les dictatures, plus la psychanalyse est rejetée. Elle qui montre l’homme tel qu’il est, est trop dangereuse pour les dirigeants de ce monde. Ce qu’ils veulent, c’est l’ignorance des peuples et ils l’ont. Maintenir les foules dans le mensonge, ce n’est pas bien. Ce n’est pas bien du tout et ça ne peut résoudre les problèmes.