herbes folles
doigts courants
sur le noir et blanc
des bécarres et bémols
pliez sous le vent
qui chante les mélodies
surgies des mélancolies
des troubles naissants
j’ai vu ses doigts courir
des toniques aux sensibles
dévoilant l’impossible
jouissance du pire
j’ai entendu le big-bang
de la volupté des sens
réveiller mon impuissance
devant le génie de Wang
poèmes improvisés en vers ou parfois en prose
haG
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire