C’est bien cet après-midi que le dictateur syrien qui a succédé au dictateur el-Assad, va tomber dans les brans de l’enfant de l’Élysée qui, en raison de son inaboutissement psychique, ne peut différencier le gendarme du voleur. Que vont-ils bien pouvoir se dire dans leur nauséabonde intimité ? Le terroriste va surement repartir avec quelques millions ou milliards dans ses poches, puisque le peuple ferme les yeux devant les méfaits de celui à qui il a donné le pouvoir absolu. Triste France qui sombre chaque jour dans le noir du fond de mon puits au fond de mon jardin, dont son noir s’accentue proportionnellement à l’effondrement de son fond. Il y a 2025 ans, un sauveur est né pour sauver le monde - ce qu'il n'a pas fait - qui n’était pas pire que celui d’aujourd’hui. Aujourd’hui, il ne nous reste que Mélenchon et son armée de robots soumis avec à sa tête, la célèbre Panot, poissonnière de son état. Cette exécrable vermine va prendre le pouvoir au nez et à la barbe de naïfs et d’indécis qui disent se battre pour la démocratie, alors qu’elle n’a – la démocratie - jamais été inventée et qu’elle ne le sera jamais, parce que pour que tienne un édifice, il lui faut un socle invulnérable et un ciment de qualité pour souder toutes ses pierres empilées. La France vit dans le volatile depuis des décennies. La volaille volage n’a pas de ligne directrice. Elle va et vient au gré de ses instincts en se fracassant sur les poteaux électriques. Les élus, tous aussi minables, se succèdent indéfiniment et le monde ne garde d’eux que leur malhonnêteté et leur impuissance. Changer les tenants et les aboutissants ne peut s’accomplir en changeant les hommes. C’est l’homme qui doit changer son comportement et son mode de pensée. Et le seul moyen – le seul –, c’est de pousser la porte du cabinet de Freud, d’y chercher son miroir, de le trouver, de s’y regarder, de s’y reconnaître et de le traverser.
C’est tout.