dimanche 19 mai 2024

vu à travers le tube • la faux-cul…

Regardez bien la photo de mon tube de ce matin. Pour tous commentaires, je vous livre la belle réflexion de Sergioo Parolinn (un ami facebookien), réflexion d’une justesse exemplaire à laquelle je souscris pleinement et qui concerne la faux-cul godiche Gidrèche.

 

« De l’art d’essayer de relancer une carrière qui est toujours restée au niveau élémentaire. Y’a quand même un os dans l’boudin quand on voit les photos…. Je vous livre ma fille de 19 ans en pâture à Cannes en 2024. Je m’appelle JUJU et je vous ai bien U … L'hypocrisie de tout ce petit monde de l’entre soit du cinéma, encore et toujours, jamais ils ne cesseront de faire leur cinéma dans tous les sens du terme. Les fameux premiers donneurs de leçons de vie qui viennent nous flinguer presqu’exclusivement en direct en maçonne larmoyante, les supposés bourreaux qui les ont érigées en étoiles en stars... ( ah bon ) … dans une attitude oh mon dieu ouinouin très victimaire tellement compassionnelle pour ceux qui admirent ce genre de proutprouts culturellement odorants. La décadence morale côtoie souvent l'égo et l'argent pour ces êtres qui ne regardent que leur nombril ! ( Naphta ) Et après tu t’étonnes ! » (Sergioo Parolinn)

 

C’est tout pour ce matin.

samedi 18 mai 2024

le puits au fond du jardin • regarder et ne pas voir…

 



 

Nouvelle-Calédonie. Et le pouvoir communique, discutaille, réuni, papote et se distrait comme il peut tout au long de ces journées interminables, minées par l’ennui, mais heureusement entrecoupées par les délirants délires de l’égérie, de la madone, de la déesse, de l’impératrice suprême du genre féminin frigidoïde : godiche Godrèche. Moi, je ne m’ennuie pas. Je note. Je renote et rerenote. J’observe et construis les éléments de base pour mon prochain roman ou peut-être mon prochain film ou plus sûrement mon prochain opéra dont le titre pourrait être : « Les Pantalonnades des Marionnettes diaboliques » J’honorerais ainsi la commande passée en mai 68 par la petite ville de Cityfolie où je passe chaque année mes vacances. De liens en liens, j’en ai oublié mon sujet qui était les mouvements de la langue qui émet des sons pour occuper le temps. Pour sauver notre peau du péril islamique et mélenchonien, les mots ne servent à rien. Ils n’ont d’utilité que chez le psychanalyste. Ici, sur le « cailloux », et de partout, il serait judicieux de retourner dans le passé et d’adopter la méthode du policier qui n’a pas hésité à tuer le voyou qui le menaçait d’un Opinel. Plus on en tuera, moins il y en aura. De temps à autre, il m’arrive d’être légèrement logique. Mais il est vrai, et je ne peux m’empêcher de répéter, que la meilleure et seule solution, est de pousser la porte du cabinet de Freud pour y chercher son miroir, le trouver, s’y regarder, s’y reconnaître et le traverser. Si chacun suivait mon conseil, le politique qui est le seul ennemi de l’homme avec le loup et soi-même, n’aurait plus de raison d’être et nous retrouverions le paradis terrestre d’antan, sans la femme coupable, sans serpent visqueux et piquant, sans la pomme de la marâtre, et nous pourrions déployer nos doigts de pieds en éventail, allongés sur la plage d’Elbakabada, en regardant Isolde se dissoudre dans les flots et mourant ses dernières notes : « Homme, regarde derrière toi. Vois-tu que tu n’es pas toi ? «        

vendredi 17 mai 2024

le puits au fond du jardin • les doigts dans le nez…

 



 

Les rigolades de Cannes 2024. Les critiques ont vu Coppola et disent ne rien avoir compris. Les autres critiques ont été déçus. Et les autres, autres critiques, disent que ça a fait pschitt. Peu importe, c’est Dupieux qui déchaîne les hostilités. Tout Cannes et ses environs posent la question : « Escroc ou génie ? » J’adore Dupieux parce que je crois qu’il est un escroc génial. « Rubber » et « Mandibules » sont irrésistibles et les restes ne sont que variations filmées pour passer le temps. Escroc est tout de même mieux que toutou obéissant, d’autant que Dupieux est authentique.  

 

Chez Hanouna, on officie régulièrement dans les tréfonds des bas-fonds. Hier, ou avant, Baba – c’est son nom à l’État civil - a demandé à ses chroniqueurs s’ils avaient un talent caché. Je ne savais pas qu’il était possible qu’il y ait un talent chez les babatiens. Et pourtant si. Spontanément, la philosophe intellectuelle Polska, a levé le doigt. « Moi, je sais mettre mon ongle en entier dans mon nez ! » Je me demande si je dois commenter, d’autant que tous ces gens dans l’écran, n’en sont même pas restés baba.

jeudi 16 mai 2024

vu à travers le tube • à la recherche du petit doigt…

Et voilà que les hostilités israélo-palestiniennes et ukraino-russiennes sont jetées aux oubliettes, pour laisser les écrans au service permanent d’une petite île éloignée de 12 000 kilomètres, française sur le papier, et dont nous sommes un certain nombre à se ficher éperdument. Ils s’entretuent depuis des décennies ou des siècles. Je l’ignore et ça ne m’intéresse pas. Là-bas comme ailleurs, il ne s’agit que d’enfants impertinents et mal élevés. De partout sur la surface de cette terre, les enfants sont jetés dans le monde sans être façonnés. Dans ces conditions, de quoi se plaint-on ? Les conflits, qui se multiplient à foison, et qui sont entretenus par des élus criminels, impertinents et incompétents dont la France a gagné les premiers rangs, nous mènent tout droit et dans très peu de temps, à cette guerre généralisée qui va tous nous emporter, puisque je ne vois pas le moindre petit doigt se lever pour dire stop. Les discours fallacieux ont pris le pas sur la réflexion, l’intelligence et la destruction définitive des hors-la-loi de toutes sortes. Le voyou en cavale n’est pas pire que ceux qui votent les lois qui détruisent les vies des démunis et pas pire que les enfants qui se prennent pour des rois. Bof ! J’espère que cette merde à l’odeur insoutenable va encore tenir quelques semaines, le temps que je m’installe à l’étranger pour savourer mes opéras préférés. Après cela, le déluge peut déferler et écraser tous ces pantins qui auront souillé la face de la terre depuis des éternités d’éternité

mercredi 15 mai 2024

vu à travers le tube • les eaux de boudin s’infiltrent…

FESTIVAL DE CANNES 1958 

11ème Festival International du Film de Cannes 

Président :Marcel Achard 

Bernard Buffet -Jean Cocteau -

Jean Marais -Georges Auric -

Francine Jacques Tati et Alain Bécourt 

Madeleine Robinson

Après le défilé des anomalies psychiques de l’Eurovision, voilà qu’on se retrouve à Cannes, au spectacle féministe appuyé sous l’autorité de Cottin perdue dans sa feuille de route et son inutilité. Je n’ai pas compris le flot de larmes de Gerwing et j’ai eu grande pitié pour le duo surréaliste, pleurnichard et incroyablement débile de Binoche et Streep. Curieux : je n’ai pas vu sur la scène l’inénarrable godiche Godrèche ! J’espère que le marginal et génial Dupieux aura apporté un peu de sel sur les épinards rances de ce début de festival. La fameuse liste des 10 n’est toujours pas sortie du ventre de la femme coupable. Peut-être est-ce un canular. Peut-être pas.

 

Trop rigolo. La mère du gangster, du voyou, du criminel, du récidiviste professionnel en cavale, a fait part de sa tristesse. Elle a même dit qu’elle a craqué et pleuré et même qu’elle n’était pas bien.  La pauvre ignorante et sans cervelle n’a pas compris que la première des coupables, c’est elle. C’est elle qui a éjecté le monstre de son ventre. C’est elle qui s’en est débarrassée en le propulsant sur le chemin des dévoyés. Trop rigolo, je vous dis. Et puis l’autre coupable, ce n’est que ceux qui sont au pouvoir. Tant que les prisons ne seront pas redevenues des cachots noirs avec des rats et des prisonniers enchaînés, sans télé, sans portable, sans parloir, sans aucun moyen de communication avec l’extérieur, on n’en finira pas avec les virus de la société. Si Amra est en cavale, c’est qu’il a pu communiquer avec ceux qui l’ont délivré. Et ce matin, un stupide maton a dit dans une radio qu’il était impossible de détecter l’entrée de portables dans les prisons. Il nous prend pour des cons le misérable. Où que j’aille, je suis suivi à la trace. J’en ai même un résumé régulièrement. Et un portable en fonctionnement – même à l’arrêt – ne pourrait pas être repéré ? Balivernes indignes ! Voilà où l’on en est. Et nos ministres sont indignés ! Trop rigolo eux aussi.       

mardi 14 mai 2024

le puits au fond du jardin • trier, sy et quasimodo…



 

Aujourd’hui commence le grand cinéma des nanas qui se terminera par la remise de la palme de la cane pour celles qui auront rempli le plus de marmites de zizis tranchés, proies des guerres, comme celle que mon grand-père a vécue dans les tranchées de Verdun avant d’en ressortir une balle dans le pied. Du cinéma en films, il n’y en aura pas, puisqu’il n’y a plus d’histoires à raconter, puisque le jeune premier ne peut plus déshabiller les naïves et les faire sursauter. Même le baiser de Gabin à Morgan est bouté hors de l’écran, ce qui fait que l’on comprend pourquoi les Bardot en herbe ne montrerons plus jamais les surfaces de leur peau non bronzée. Le cinéma de papa, le cinéma, est écroulé et Cannes tient encore sur le vermoulu de son passé avant de disparaître sous les eaux de la Méditerranée. Sy, dans le jury, présage la gloire des navets, suite logique à toutes ces anatomies que Trier n’a même pas su autopsier. Le retour à Godard, Bergman, Murnau et Chaplin paraît être l’urgence absolue.

 

Si on parle toujours et encore de l’Eurovision, c’est parce qu’elle a été une abjection par son absence de musique et la présence abusive de monstres de foires, comme on en voyait au Moyen Âge sur les places publiques. De Quasimodo, Hugo a fait un très beau roman. À l’Eurovision, les Quasimodo sortaient des placards aux excréments.


lundi 13 mai 2024

le puits au fond du jardin • rendre à césar…



 

Ce matin, j’apprends qu’une loge du théâtre du Casino d’Aix-les-Bains va porter pour nom, Pierre Sybil, qui serait le fondateur, en 1989, du Festival de l’Opérette. Ce n’est pas la première fois que cette information mensongère parait, ici ou là. Je rappelle, de sources sûres, que cette manifestation a été créée par le directeur du conservatoire de musique de l’époque, qui s’est démené pour convaincre l’adjoint à la Culture qui s’est démené pour convaincre le maire qui n’en voulait pas. Pierre Sybil n’a jamais mené de tractation. Il a été consulté sur ses projets artistiques et financiers, en tant qu’éventuel directeur artistique. C’est toujours mieux de rendre à César ce qui lui appartient.   

vu à travers le tube • hayer et mbappé…

Hayer, la nana conditionnée, robotisée, désincarnée, qui propage les phantasmes hallucinatoires de l’enfant au psychisme inabouti, affirme que, contrairement à ce que pense 200% des français, la délinquance n’a aucun rapport avec l’immigration, qui ne serait, selon elle, que la conséquence de la peur et de la haine que suscite le jeune Bardella, qu’elle voudrait voir disparaître, bien que le jeune homme ne l’ait jamais harcelé par la parole ou par le geste, ni même – et je le comprends – violé de quelques manières que ce soit.

 

Mort de rire. Le stupide Mbappé, le stupide PSG, les stupides crétins malades du ballon rond, se sont ridiculisés dans leur tentative de fêter leur déclin, après deux défaites cuisantes. Le héros de pacotille s’en va pour Madrid ! Et alors ? Moi, je pars sous peu pour Berlin et puis pour Lucerne. Je ne convoque pas les télés pour si peu. Je ne pars pas pour faire joujou à la baballe. Je pars pour voir et entendre le monde du merveilleux, le monde de la sensibilité, le monde de l’humain que je ne vois pas dans mon quartier, ni dans les télés. Dans leur stupidité gigantesque, les pantins courent et se jettent dans le feu. Ils sont si bêtes, qu’ils ne savent même pas que le bois ne résiste pas au feu.     

dimanche 12 mai 2024

vu à travers le tube • le triomphe des méchants…

La rave-party près de Saumur n’a pas été autorisée. Les fêtards, soûlards et gros connards, s’en tapent les couilles. Depuis mercredi soir, ils sont plus de 10 000 à occuper un terrain agricole, sans que le propriétaire puisse les déloger. Les policiers n’interviennent pas, de peur de déranger les schizophrènes. En France, on ménage toujours les hors-la-loi. Il me semble naturel, puisque la police évite la confrontation, d’envoyer l’armée et de tirer à balles réelles sur la vermine. L’agriculteur récupèrera son terrain et les voisins leur tranquillité. Dans ce pays ravagé, il n’y a aucune autre solution. La France crève de ses lois contradictoires et hors sujets. Halte aux concertations, halte aux débats, halte aux circonstances atténuantes. L’action et la réponse immédiate doivent primer sur toutes autres considérations. Manipulé à haute dose, l’individu confond les réalités. Ses représentations n’ont plus de reliefs, plus de sons, plus d’odeurs et plus de palpations. Il est façonné par les pervers pour devenir robot. Et, il l’est. Il est robot. Comme un con, Jésus est mort cloué. Il ne pourra plus jamais paraître sur les rives du fleuve – peut-être le même que celui des gardiennes de l’or – pour sauver ce qu’il reste de leurs restes. Ignorant le stade adulte, étant toujours resté enfant, l’homme se retrouve seul, sans le moindre héros pour le secouer et décrasser son cerveau. La fin, cette fin qu’il a bien cherchée est arrivée. Son étonnement, son indignation, sa peur, sa souffrance, sont mal placés. Ce qui arrive aujourd’hui, c’est lui qui, patiemment, l’a minutieusement érigée, depuis ses débuts ratés en ce monde insipide.   

samedi 11 mai 2024

vu à travers le tube • retour à la maison…

Cette journée du 11 mai 2024 sera marquée – d’une part - par l’immonde bêtise de la frange gauchiste, islamiste et terroriste qui veut empêcher la candidate israélienne de chanter ce soir à l’Eurovision. On est revenu à la Saint-Barthélemy, à la terreur qui a glorifié la révolution avortée de 1789, aux massacres des indiens par les cowboys, et – d’autre part – par la stupéfaction, par la déception, par l’horreur, ressenties par les français suite à l’annonce du grand manitou de la balle aux pieds, de celui qui a passé sept longues années, immobile dans le coin gauche des terrains de foot et qui était payé énormément et gigantesquement pour courir plus vite que la lumière, sur environ trois mètres, en poussant le ballon dans la cage, ballon que ses subalternes lui apportait – de temps à autre – sur un plateau, pendant que le gardien fumait sa cigarette. Le farceur a annoncé sa démission-surprise, chose que tout le monde savait depuis un bon et très long bout de temps.

 

C’étaient les nouvelles importantes de la journée. Les restes ne sont que peccadilles : les guerres hiérarchisées, les criminels juvéniles, les drogues au supermarché, Paris emmuraillé, les gauches et les écolos complètement tarés, les trans, les queens, les sexes inversés, les enfants en plats à réchauffer, les cerveaux artificiels, les monstruosités des sciences en tous genres, la femme dépecée, l’homme couillonné, le ridicule triomphant, l’ignorance régnante aussi bien dans l’ombre que dans la lumière. Heureusement, il reste ces deux légendes qui posent la question et qui me tiennent debout dans ce monde grouillant et gluant : le parcours de Laura qui est more et pourtant bien vivante, et, l’or du fleuve arraché à son fondement, qui après son long voyage dans la vie pernicieuse des dieux et des hommes, retournera au fleuve. Une subtile lueur, avant la mort qui me presse.          


vendredi 10 mai 2024

le puits au fond du jardin • ferrari en place de mabrouk…



 

Donc, Laurence Ferrai remplace Sonia Mabrouk, partie en congés maternité. L’ascension de la jeune femme, chez TF1, passant par la succession osée de PPDA, est fulgurante. Depuis que j’ai opté pour Cnews, je l’observe chaque jour. Sa pâleur et son mal-être sont saisissants. Elle s’en tire – très bien - par son professionnalisme et ses connaissances, en dirigeant ses équipes comme une excellente institutrice des années 50. Je l’ai connu toute petite. J’ai surtout connu ses parents. Je ne peux m’empêcher de rester pensif devant le tableau de maître incontestable : elle vit avec un artiste – un des plus grands, Quels que soient les critiques - qui parcourt le monde pendant qu’elle parcourt les plateaux. Je me demande : quel lien, si puissant, peut-il unir les deux cerveaux ? Qu’en pense le petit Eliott, qui aura bientôt 14 ans ?      


vu à travers le tube • freud, swift et l’enfant…

François Berléand : « L’analyse freudienne que j’ai faite à l’âge de 40 ans m’a permis de comprendre le pouvoir des mots. » Où l’on peut remarquer, si l’on pense, que je ne suis plus seul à être du côté de Freud. Désormais, nous sommes deux, en attendant la prise de conscience des foules qui se fera obligatoirement quand les marionnettes manipulées auront poussé la porte de son cabinet pour y chercher leur miroir, le trouver, s’y regarder, s’y reconnaître et le traverser. L’individu pourra alors prendre le bon chemin, celui qui auréolera sa personnalité et le mettra en phase avec ses autres entités.

 

On me dit que des milliards d’individus attentent, depuis quatre, cinq ou six décennies, le retour sur scène d’une certaine Taylor Swift, dont j’ignorais l’existence et dont jamais qui que ce soit ne m’en a parlé. Un petit tour vite fait sur Wikipédia et YouTube pour constater son ignoble nullité. Et les foules se pâment devant cette merde absolue ! J’ai été biberonné à Bach et Boulez et je suis tombé amoureux de Mozart et Webern. Alors, Swift ? Même pas une patte de mouche, égarée sur une tarte aux cerises !  

 

L’enfant au psychisme inabouti qui sert de roi à la France persiste et signe. Après la litanie des lois qu’il veut faire voter pour que le père divorcé retourne au foyer pour assurer les tâches ménagères.

et torcher le cul de la marmaille, voilà qu’il veut pondre une pile impressionnante de lois pour prévenir les conséquences de la ménopause. Jamais la France n’aura vécu une pareille aventure. L’Élysée est désormais occupé par un agent des sévices sociaux. Il est temps que l’individu en question se trouve un logement plus adéquat et que sa fiche de paie subisse le coup du ciseau.

jeudi 9 mai 2024

vu à travers le tube • indécences…

Celui qui fait office de roi de France, l’enfant au psychisme inabouti, impose au monde des Olympes les petites frappes Jul et Nakamura. Plus boueux et décérébré, on ne fait pas mieux. Et je n’oublie pas la drag-queen, cet homme à jupe et maquillé, affublé d’une choucroute sur la tête, qui portera la flamme à Digne, la bourgade où Jean Valjean vola les candélabres du curé, drag-queen qui fait l’admiration de la célébrissime Rousseau.

 

Je le répète tous les matins. Cette fois ce n’est pas moi qui le dis. C’est Salvini, le vice-chef du gouvernement italien. Après ses propos sur son désir d’envoyer ses armées en Ukraine, il pense que notre enfant au psychisme inabouti « devrait aller se faire soigner ». Je le pense aussi. Mais voilà : une thérapie psychanalytique freudienne, ça dure toute une vie, et avant qu’il ressente un progrès, l’enfant est tellement atteint, qu’il faudra bien attendre deux ou trois décennies. Ce sera trop tard. Les ravages ont déjà commencé. Et au moment de son départ, dans trois ans, la vapeur ne pourra plus être inversée. Une petite particule du peuple a posé son derrière royal sur le trône. C’est la totalité des français qui vont payer.

 

Un enfant ne peut naitre que d’une femme et d’un tout petit et très léger coup de pousse masculin. L’enfant est la chair de la femme, la chair de sa mère et c’est à sa mère à se démener pour le conduire jusque dans le monde des adultes où l’on en voit plus un seul. Quand le couple parental ne peut plus se supporter, il a recours au divorce pour que chacun retourne à ses origines. C’est au juge de décider qui a la garde des enfants : la mère, le père ou l’assistance publique. Un juge sérieux, compétent et sachant, devrait toujours – s’il y a hésitation - préférer l’assistance publique à la garde alternée, ce qui éviterait le double foyer, ballottements incessants, nuisible au psychisme de l’enfant. Quant à la proposition de celui qui devrait se faire soigner, à savoir, imposer des obligations à celui qui n’a pas la garde, c’est la vision d’un analphabète qui n’a pas la moindre notion des comportements. Si les parents sont séparés, c’est pour ne plus se rencontrer. Celui qui a la garde doit assumer. Les lois sont suffisamment explicites pour régler et faire respecter les problèmes financiers. Quand l’État entre dans la sphère privée, la dictature n’est pas très loin. Et c’est bien ce qui est en train de se passer sous l’œil clos et le sommeil profond de la population.        

mercredi 8 mai 2024

le puits au fond du jardin • crépuscule...

 



 

Le héros du jour est une flamme qui fascine par la vision tronquée de l’homme qui n’astique pas son psychisme comme il lave le bout de son nez. Flamme, symbole d’un rassemblement qui aura mobilisé des milliers de policiers alors qu’ils ont autre chose à faire avec tous les crimes à l’Opinel et les femmes qui ne cessent d’être battues, qui aura multiplié les interdits de toutes sortes, qui aura ressuscité le code barre de la soumission, qui aura ravivé la confrontation des corps redessinés par les muscles en gonflettes, qui aura révélé les héros de pacotilles, les Mbappé des illusions perdues dont la valeur n’égale que la stupidité de leurs attributs. Je préfère Wang qui sublime la pensée, Bach qui fixe les fondamentales, Freud qui montre la voie fracturée de nos comportements, Molière qui dissèque la société, Lynch qui conte les dualités, ma voisine de palier, gardienne du bon sens. Il y aura eu ceux qui auront joué sur l’Olympe des dieux disparus, ceux qui les auront ovationnés et ceux qui s’en seront mis plein les poches, pendant que les autres continueront leur petit bonhomme de chemin, chemin qui croise les horreurs de la vie coutumière, les déchéances des personnes, les ignorances flagrantes de la société tout entière. Je ne comprends pas. Ce monde n’est pas le mien. Par chance, le crépuscule me sourit tous les matins. Wagner avait bien raison : le crépuscule des dieux et des hommes !

mardi 7 mai 2024

le puits au fond du jardin • fractures et cassures…

 



 

Je me demande pourquoi, dès l’instant où l’on ne supporte pas la suprématie imposée des homos, des wokes, des drag-queens, des trans, et de toutes ces anormalités, on est taxé d’extrême droite. Je ne supporte pas les choses précitées et je suis socialiste de souche, socialiste authentique, depuis 80 ans et 47 jours. Le problème, c’est que je n’ai plus de parti et que je suis orphelin, comme mes deux ou trois autres compères dispersés sur le territoire. Ne pas aimer la mutation perverse de l’être humain, n’est pas courir se réfugier chez Le Pen ou Zemmour. Devant l’immonde crasse des politiques – de tous les politiques -, je m’autorise à suivre ma propre pensée et à me dégager de tous les flots de stupidités ânonnés dans les télés ou ailleurs. Si je trouve quelques réconforts chez Cnews, seule chaîne affrontant les réalités de ce monde fracturé, je regrette que jamais personne n’aborde les problèmes sous l’angle de l’humain, en analysant les psychismes que personne ne maîtrise. C’est par le philtre de la psychanalyse – la thérapie imaginée par Sigmund Freud - que l’on peut examiner les conflits et que l’on peut les résoudre après une analyse profonde, sérieuse et complète. Jamais, jamais la politique n’a pu résoudre le moindre problème depuis l’apparition de l’homme. Tout n’aura été que faux-semblants, ce qui nous amène à ce que nous sommes aujourd’hui : des petits enfants stupides qui se prennent pour des grands alors que jamais, ils n’ont réussi à accéder au stade d’adultes. C’est que jamais, ils n’ont tenté d’interroger leur psychisme, de le modeler, de le forger aux réalités de leurs représentations qui s’affrontent. Qui sont donc les dirigeants de ce monde, à part des corps qui bougent dans tous les sens et qui reproduisent à l’infini les désirs inconscients qui mènent le monde. Relier son conscient à son inconscient est la première des conditions. Prendre conscient que l’autre – comme Dieu – n’est qu’une invention de notre pensée et que donc, nous sommes éternellement seuls, seuls avec nos multiples reflets dans le miroir des fées qui traversent les contes. L’or est du toc, le lien, une illusion.

 

Dans la litanie des douze mois de l’année, seul août porte un chapeau pour se protéger des rayons du soleil. C'est ce qu'a dit Bernard Pivot. Comprendre, c'est comprendre les mots et les écrire avec précision pour qu’ils prennent toute leur signification.