Idriss Déby était au pouvoir
du Tchad depuis 30 ans et seuls les alzheimeriens prétendent qu’il n’était pas
un dictateur. Il est mort, ce qui ne peut être qu’un bien. Ces mêmes alzheimeriens
vont-ils prétendre que son successeur n’est pas un dictateur ? Miliaire et
fils de son père, il a pris le pouvoir et s’est arrogé les pleins pouvoirs. Et
notre Roi - celui de la France - un autre dictateur, s’est empressé de prendre
l’avion pour le Tchad - dépassant la limite imposée des 10 kilomètres - pour
rendre un hommage appuyé à son ami Idriss. Est-ce que personne ne voit qu’il y
a quelque chose qui ne va pas ? Le Roi de France peut-il honorer la mémoire
d’un RoiTyranDictateur si lui-même n’est pas en concordance avec ses idées ?
A propos de notre Roi, un fait insignifiant - donc justement important et
inquiétant - : sa dernière et toute récente insulte faite à Schiappa, sa
fidèle d’entre les fidèles, qui le défend becs et ongles surdimensionnés à un
point tel qu’elle est devenue aveugle, sourde et non-muette. L’insulte envers
ceux qui n’ont pas sa pensée est monnaie courante chez cet ado éternel qui épousé
sa maman. Et dire que vous allez - très bientôt - le remettre sur son trône !
Le charabia de Castex est certes
légendaire, mais ce n’est pas une raison pour en avoir pitié. Pauvres sont ceux
qui l’ont écouté, car tout le monde sait qu’il ne parle jamais pour dire, mais
seulement pour tenter un mauvais numéro de cirque qui ne peut intéresser ceux
qui ont la pensée. Hier, il n’a rien dit. Avant-hier, il n’avait rien dit. Les
autres fois, il ne disait rien. Alors pourquoi a-t-il réussi à mobiliser 34 chaînes
de télés, hier, à lui tout seul ? Les mystères de la politique, sans doute,
qui sont les mystères de la relation sado-maso. Les masos - devant leur télé -
adorent les sados - dans leur télé - qui les enculent sans même qu’ils le
sachent. Ils auraient sans doute plus de plaisir s’ils le savaient. Et c’est
ainsi par le monde : la soumission par la domination. Changer le monde, c’est
changer la pensée. Et pour changer la pensée il faut rencontrer Freud pour qu’il
aide l’homme à chercher son miroir, à le trouver, à s’y regarder, à s’y reconnaître
et à le traverser.
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