Je ris ou je pleure ? C’est la question. Mélenchon en a encore sorti une, comme il en sort régulièrement. Il s’est attiré, hier, une volée de bois vert et peut-être un passage devant les tribunaux. Je ne sais pas vraiment ce qu’il a dit - un attentat la veille des « monarchielles » ? -. Ce n’est pas grave. Il ne dit que des conneries. Ce vieillard est hargneux, pervers et menteur, trois ingrédients qui semblent lui convenir pour devenir Roi de France alors qu’il perd chaque jour un peu plus de la sympathie que certains lui avaient vouée. Et comme, avec Mélenchon, il n’a que des gugusses du même genre pour briguer au poste suprême - un trône maléfique qu’aucune révolution n’a réussi à éjecter, un trône qui gangrène la France depuis des millénaires et qui empeste les égouts comme ceux et celles qui posent leur cul dessus -, le pays est tombé dans l’impasse qu’il fallait fuir. C’est trop tard. La marche arrière, le retour n’est pas pour le peuple de France qui vote, qui vote, qui vote à en perdre le souffle, pour des ignobles crétins qui le soumettent à grands coups de fouet. Je ne me sens pas concerné par ce pays malsain. Je n’ai ni demandé à naître, ni demandé à naître sur ce continent. La seule coupable est la femme. La femme qui m’a jeté hors de son ventre sans me demander mon avis. Je ne me sens pas coupable, car je ne suis complice de rien. Je ne vote pas, ni pour Mélenchon, ni pour Le Pen, ni pour Macron ni pour les autres. Je ne crois pas en l’homme inabouti. Je ne crois pas au principe : « Je dis, tu fais ! Je commande, tu obéis ! Je suis le maître, tu es l’esclave ! Je décide, tu subis ! » J’irai voter le jour où l’on me proposera des idées et des méthodes pour les appliquer, des idées justes instaurant l’égalité entre tous, des idées aboutissant à l’invention de la démocratie, des idées qui banniront à tout jamais la pauvreté intellectuelle, la pauvreté de l’esprit, la pauvreté de la pensée et par la force des choses, la pauvreté financière. Je crois vraiment que j’ai le temps de mourir deux ou trois cents fois avant que mon rêve se réalise… s’il se réalise ! Pauvre pays noyé dans l'ignorance...
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