Je suis farouchement contre l’obligation de la vaccination - déjà dit et répété ici -. Je suis contre ces vaccins fabriqués en quelques heures dont personne - PERSONNE - ne sait rien, ni les chercheurs, ni les médecins de tous poils, ni les politiques, ni les journalistes, ni les chroniqueurs, ni ma boulangère, ni ma voisine de palier, ni moi-même et dont, par contre, tout le monde sait le poids démesuré qu’ils portent dans le monde du fric et de la corruption. Hier, le godillot stupide Préfet - un abruti de premier ordre - de mon département a décrété - comme ont et décrètent les Rois d’avant et d’aujourd’hui - la remise du masque dans l’espace publique et les sur-nombreuses interdictions à tous les coins de rue avant de décréter, très prochainement, un autre confinement ce qui signifie très clairement le retour en prison des innocents. Et moi qui, comme un GROS CON que je suis, me suis fait vacciner pour être libre. Je croyais avoir grandi le jour de mes 70 ans et voilà que je suis resté petit, tout petit, minuscule, pendu au téton de la femme qui m’a éjecté violemment et méchamment de son ventre sans me demander mon avis. Le sinistre godillot du Roi n’a même pas évoqué les vaccinés, ces lâches moutons crapauds baveux qui sont entrés dans le rang. Maudit suis-je et que le diable m’emporte !
Orange, le célèbre festival d’art lyrique aura donné son dernier spectacle le 7 juillet 1973 - il y a 48 ans - avec l’opéra des opéras, Tristan et Isolde de Richard Wagner, interprété par Birgitt Nilsson et Jon Vickers et dirigé par Karl Böhm. Depuis, la programmation se résume à Alagna et Roberto, Roberto et Alagna, les pires dans le genre et dès ce soir les musiques des jeux vidéo - les musiques des jeux vidéo ! -. Les Romains en rougissent de honte. J’applaudis à tout rompre - et des deux mains - la direction de cette farce, qui, comme tous les humains, marche à reculons en croyant aller en sens inverse. Il est vrai que le XXIe siècle est celui de la confusion des sens parallèlement à la confusion des sentiments.
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