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Simon Rattle
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Hier, samedi et pour la troisième
semaine consécutive, plus de 200 000 manifestants contre les pouvoirs
gigantesques du Roi de France, contre les perversités de ses apparitions télés,
contre les perversités de ses discours et contre les perversités de ses
décisions unilatérales. Si le pass sanitaire est justement contesté, il n’est
qu’une pierre supplémentaire à l’édifice contestataire des français qui n’en
peuvent plus des paroles mensongères du Monarque et de ses pitoyables godillots
qui ne cessent d’apparaître dans les écrans pour nous bafouer et nous humilier.
Régler le problème de chacun pour régler le problème communautaire :
comment vivre ensemble quand on est incapable d’inventer la Démocratie et
totalement hermétique à la thérapie psychanalytique de Siegmund Freud qui
pourrait, sans aucun doute, régler la fondamentale du problème ? Plongez
dans « En Thérapie » et écoutez Camille et demandez-vous pourquoi
elle n’était pas avant alors qu’elle EST après !
Hier, sur les chaines
musicales, les contraires n’étaient pas identiques. Pourquoi, sur Mezzo, « Tosca »
était-il - l’opéra - aussi morne et chiant malgré la présence d’Harteros et Tézier
- il est vrai qu’il lui aurait fallu un chef d’orchestre (pas Thielemann) et un
metteur en scène (pas Sturminger) -, alors que Classica retransmettait le dernier
concert de Simon Rattle à la tête de son Orchestre Philharmonique de Berlin -
la 6e de Mahler - avec les applaudissements de plus de vingt minutes
d’une salle debout, pleine à craquer - le chef a dû revenir saluer alors que l’orchestre
avait déjà quitter la scène -. D’un côté l’inadmissible routine, de l’autre le
talent qui côtoie le génie.
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