dimanche 1 août 2021

vu à travers le tube • le talent qui côtoie le génie…

Simon Rattle
Hier, samedi et pour la troisième semaine consécutive, plus de 200 000 manifestants contre les pouvoirs gigantesques du Roi de France, contre les perversités de ses apparitions télés, contre les perversités de ses discours et contre les perversités de ses décisions unilatérales. Si le pass sanitaire est justement contesté, il n’est qu’une pierre supplémentaire à l’édifice contestataire des français qui n’en peuvent plus des paroles mensongères du Monarque et de ses pitoyables godillots qui ne cessent d’apparaître dans les écrans pour nous bafouer et nous humilier. Régler le problème de chacun pour régler le problème communautaire : comment vivre ensemble quand on est incapable d’inventer la Démocratie et totalement hermétique à la thérapie psychanalytique de Siegmund Freud qui pourrait, sans aucun doute, régler la fondamentale du problème ? Plongez dans « En Thérapie » et écoutez Camille et demandez-vous pourquoi elle n’était pas avant alors qu’elle EST après !

 

Hier, sur les chaines musicales, les contraires n’étaient pas identiques. Pourquoi, sur Mezzo, « Tosca » était-il - l’opéra - aussi morne et chiant malgré la présence d’Harteros et Tézier - il est vrai qu’il lui aurait fallu un chef d’orchestre (pas Thielemann) et un metteur en scène (pas Sturminger) -, alors que Classica retransmettait le dernier concert de Simon Rattle à la tête de son Orchestre Philharmonique de Berlin - la 6e de Mahler - avec les applaudissements de plus de vingt minutes d’une salle debout, pleine à craquer - le chef a dû revenir saluer alors que l’orchestre avait déjà quitter la scène -. D’un côté l’inadmissible routine, de l’autre le talent qui côtoie le génie.  


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