Berlin, 15 novembre, 17h24. Dans un peu plus de 24 heures, le Rhin dévoilera une fois encore son Or, ce métal banal qui conduit l’homme inabouti à la pire des folies. Ce sera le début aussi du crépuscule des Dieux qui entrainera le crépuscule des hommes qui n’ont toujours pas compris que les Dieux et les héros ne sont que des fantasmes inventer par l’homme pour faire croire que les races visibles et invisibles doivent conduire nos vies alors que nos vies ne peuvent être conduites que par notre propre pensée. Et pour cela, et pour retrouver notre authenticité, il suffit de pousser la porte du cabinet de Freud, d’y chercher son miroir, de le trouver, de s’y regarder, de s’y reconnaitre et de le traverser. Wagner ne l’a-t-il pas admirablement conté et mis en musique avec son génie insurpassé ?
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