Il y a des femmes qui n’ont pas de chance. Un jour, il y a longtemps, la dénommée Virginia Giuffre (née Roberts) qui n’avait que 17 ans, a rencontré un prince - comme dans Blanche-Neige ou dans La Belle au bois dormant - dit Duc d’York. Ce prince, deuxième fils d’une Reine d’Angleterre, l’a violée trois fois de suite à Londres, New-York et dans les Caraïbes sous la pression de la startup Epstein & Maxwell, dissoute après que le premier se soit suicidé en prison. Cette histoire dépasse mon entendement. Après avoir été violée à Londres - j’aimerais connaître le détail des faits - pourquoi la jeune fille traumatisée - mineure et probablement née sans mère ni père - est-elle allée rejoindre son violeur à New-York puis aux Caraïbes alors qu’elle savait très bien que ça se reproduirait ? A-t-on jamais vu un violeur s’arrêter en si bon chemin ? Ces viols, comme tous les viols, sont des énigmes éternelles qui jamais ne seront résolues. Dans un viol, sauf cas rares, il y a toujours deux coupables à 100% chacun : le violeur et la femme violée, la violeuse et l’homme violé, le violeur et l’homme violé, la violeuse et la femme violée - et je ne parle pas aujourd’hui des centaines ou milliers d’enfants violés chaque jour -. Au lieu de perdre son temps à demander des têtes, ne serait-il pas plus intelligent d’en rechercher les causes. Pour les connaître, la seule solution est de pousser la porte du cabinet de Freud pour y chercher son miroir, le trouver, s’y regarder, s’y reconnaitre et le traverser. Le passage de la porte peut changer toute une vie. L’homme - la femme - est à l’image de la société qui est à son image. La violence est engendrée par ceux qui créent les lois pour mieux posséder le pouvoir. Et puis, il vous suffit de passer chez Praud sur Cnews pour constater à quel point l’homme et la femme ne sont que des abrutis, des vampires qui ne peuvent se passer de leur nourriture de base : le sang. Violence, encore violence, toujours violence. Et c’est le futur Roi de France - ancien actuellement - qui donne merveilleusement l’exemple en se gargarisant de sa phrase qui le caractérise si bien : « J’emmerde les français ! » Et ce minable SERA réélu !
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