La variole du singe fait rage et s’apprête à décimer l’homme, preuve, s’il en était besoin, que l’animal domine l’homme grâce à son intelligence de bon sens que jamais l’homme n’a eu la capacité d’acquérir. La planète des singes n’est pas seulement un joli film agréable, c’est aussi la réalité qui nous pend au nez, ce nez incapable de (re)sentir ce qui va nous arriver tant nous sommes inaboutis primitifs. Et pourtant, depuis un certain temps, une certaine thérapie a été inventée par un certain Freud qui n’intéresse personne, à part moi et quelques autres réfractaires à la société et à ses lois. Il y a longtemps, je me suis décidé à pousser la porte du cabinet de Freud pour y chercher mon miroir, le trouver, m’y regarder, m’y reconnaître et le traverser. C’est de l’autre côté que l’on voit, que l’on sent, que l’on écoute, que l’on comprend que le monde est une erreur qui ne peut mener qu’à la terreur ou au néant. Le monde est tronqué, le monde est falsifié, le monde est triché, le monde est défiguré, le monde est désaxé, le monde est à terre et personne ne songe à le relever. Biden et Pelusi veulent la guerre. C’est tout ce que le monde a trouvé. Vivre au milieu de mort-nés n’est pas convaincant. C’est pourquoi je suis heureux de bientôt m’en aller.
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