Les féminicides
sont en constante augmentation et je n’ai pas encore décelé une intelligence
proposer une solution à l’exception évidement de coller les bêtes sauvages en
prison, prisons qui existent et sont utilisées depuis les débuts du monde et
qui n’ont jamais résolu le moindre problème. Pour être dans la convention, l’homme
et la femme doivent se marier et fabriquer des enfants. Ils doivent, devant un
élu puant - comme tous les élus -, un maire, se jurer fidélité jusqu’à la mort
- ce qui est impossible pour un être normalement constitué - et doivent être
solidaire pour le meilleur comme pour le pire, ce qui demande une maturité dure
comme la pierre, maturité d’une rareté plus rare qu’une tierce picarde sur une
feuille de choux. L’homme et la femme sont si différents que leurs points de
convergences sont pratiquement nuls et que je ne vois pas comment ils pourraient
se comprendre sans d’abord et en toute priorité comprendre ce et qui ils sont
eux-mêmes, isolément. C’est pourquoi, avant de s’engager dans une relation, ils
devraient, chacun de leur côté, pousser la porte du cabinet de Freud pour y chercher
leur propre miroir, le trouver, s’y regarder, s’y reconnaître et le traverser. Don
José et Carmen n’ont pas fait cette démarche. Comment un naïf catho qui rêvait
d’épouser sa maman et une pute auraient-ils pu avoir une autre destinée ?
Le poignard, symbole phallique par excellence, aura au moins servi pour pénétrer
la femme par substitution ainsi que la mère, retour à nos origines. La relation
homme-femme est d’autant plus compliquée qu’une bande de tarés inculquent aux
naïfs que le sexe est une illusion et que la femme est tout à fait capable de porter
un appendice pénis pendulaire et de faire durcir comme le glaive de Siegfried
et que l’homme se doit de se mettre enceint pour suivre la mode des cowboys ou
des girouettes parisiennes. Condamner l’homme qui frappe la femme où la femme
se laisse frapper inconsciemment - il y a toujours deux coupables dans un conflit - c’est
condamner la société que l’homme a inventée. C’est à lui de la changer. Et ce n’est
pas en élisant des mélenchiens ou des ados inaboutis macroniens - ou d'autres connards de la même espèce - qu’ils trouveront
la solution.
Dernier tube
avant mon départ. Je serai loin ces prochains jours. J’espère que vous ne mettrez
pas fin à vos jours parce que je ne serai plus là pour vous conter l’aventure
extraordinaire et méconnue du seul génie que j’ai connu avec Wagner et Lynch :
Sigmund Freud.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire