Le papotage indécent est devenu la marque de fabrique des chaines continues. Elles savent tout. Elles ont un avis sur tout ! Elles débattent de tout ! Après 10 jours de Lola, elles sont passées sans transition à ce père de famille qui a tabassé le guinéen clandestin qui aurait tenté de violer sa fillette de 6 ans. Il a bien fait et on devrait faire tous de même puisque la police et la justice françaises ne sont plus en état de protéger qui que ce soit, surtout en cette fin de civilisation où des hordes de peuplades sauvages débarquent sur notre sol pour nous décapiter et prendre notre place. Le voyou étranger - mineur dit-on - va s’en sortir avec les honneurs et le père va aller en prison. Normal puisqu’à ce jour personne n’a tenté la révolte impitoyable contre les institutions et les pitoyables misérables qui les représentent.
Entreprendre l’analyse de L’Art de la Fugue de Jean-Sébastien Bach - prototype de toute société libre et authentique - c’est comme entreprendre sa propre analyse. Vivre sans être imprégné de la thérapie psychanalytique de Freud, c’est comme passer de la naissance à la mort sans avoir conscience de cette étape fondamentale pour tout être conscient. C’est vivre en étant mort, d’où les histoires de morts-vivants qui ne sont que des histoires de vivants-morts. Et ceux qui ont appris l’Art de l’Écriture Musicale, savent que Bach a, en perfectionnant la Fugue jusque dans ses moindres détails, construit un édifice musical parfait qui devrait être le modèle même de la société : sujet, contre-sujet, pont, développement, modulation, miroir, harmonie permanente fondue sous l’identité des thèmes indépendants et contradictoires. La vie serait autre chose si Bach et Freud étaient les modèles dominants des papotages des chaines continues !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire