Je ne suis d’aucun parti, ni de droite, ni de gauche, ni du centre, ni des extrêmes, ni des indépendants, ni des non-inscrits. Je ne vote plus depuis près de trente ans. Voter est indécent et demande à choisir son bourreau. Je suis un homme libre, libre par la pensée et libre par l’action. Bravo Marine Le Pen qui hier à l’Assemblée a réussi un coup de maître : montrer au PR ses contradictions, ses stupidités, ses erreurs, sa lâcheté et dire à Nupes qu’elle lui chie à la gueule. Bravo, bravo et encore bravo. Les qualificatifs que j’attribue au PR se retrouvent dans tous les étages de la société, particulièrement hier où l’indécence la plus totale a recouverte la France toute la journée. Lola ! Lola ! Lola ! Toutes les radios et télés ont passé leur journée à commenter - c’était le jour de ses obsèques retransmises en direct -. J’ai entendu pendant des heures des lamentations, des gémissements, des marmites de larmes et des camions-bennes d’indécences morbides qui donnent envie de faire exploser toutes ces manigances de gens bien comme il faut qui sont tous devenus des sages, des anges, parce que l’État - Micron II - n’a pas fait son travail parce que JAMAIS, il ne le fait. La mort de Lola a bouleversé des milliards de vies révoltées par l’horreur totale du crime commis. Et jamais autant de mouchoirs n’auront autant servi si bien que Leclerc est en rupture de stock. La famille exigeait - dit-on - l’intimité absolue. C’est gagné d’autant que - prune sur le cake - Darmanin, le complice, aurait été invité aux obsèques par la famille, à moins que l’on ne l’ait obligé. Répéter en boucle le destin pourri d’une enfant, en insistant bien avec voyeurisme, est-ce une marque de respect et d’humanité envers celle qui a quitté la vie ? L’homme a encore du chemin à faire avant que son psychisme aboutisse. La mort tragique d’une enfant commentée par des enfants qui se sont trompés de chemin.
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