mardi 18 octobre 2022
vu à travers le tube • psychisme…
L’hystérie Benzema d’un côté et la folie du meurtre sadique d’une
enfant de 12 ans de l’autre côté, laisse à réfléchir sur l’état de décomposition
de la société et sur l’extrême imbécilité et ignorance de ceux qui la dirigent et
de ceux qui la composent. Nous sommes tous complices du meurtre de cet enfant
parce que ses parents d’abord et l’État ensuite n’ont pas su la protéger. Dans
cet immense champ psychiatrique qu’est le monde, on ne laisse pas une fillette
de 12 ans vaquer librement (parents) et on expulse sur le champ une personne interdite
de territoire (État). Rousseau est enfin contredite. Les hommes ne sont pas
tous des salauds. L’horreur aujourd’hui vient de la femme, une femme dont les
origines ne sont pas les nôtres. Nous sommes tous coupables parce que nous
laissons tous s’installer la haine et la violence gratuite : pas un jour
sans agressions ou meurtres, pas un jour sans échanges violents chez les
politiques, dans les familles, entre religions et sur et hors les terrains de
foot chers au héros sans fait héroïque Benzema. L’homme, quel que soit son rang,
reste inabouti. Son psychisme s’est arrêté avant le stade adulte et aucun
chirurgien ou épidémiologiste ne peut y faire quoi que ce soit. Encore moins
Micron II Roi de France qui lui s’est arrêté très bas. Je suis désolé de me
répéter, mais sans avoir poussé la porte du cabinet de Freud pour y chercher
son miroir, le trouver, s’y regarder, s’y reconnaître et le traverser, l’homme
restera enfant et ne pourra jamais assurer son authenticité qui ne peut se
manifester que s’il a appris à relier son conscient à son inconscient. Le monde
est mené par le bout du nez par des psychismes altérés et la foule applaudit à
tout rompre. Qu’y puis-je ? Moi j’ai fait ce que je devais faire et je
regarde tous ces vivants morts descendre dans le noir du fond de mon puits au
fond de mon jardin.
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