Si le monde suffoque, c’est que les psychismes non aboutis s’affrontent et se détruisent. Tout a une fin. Les États-Unis et Biden, c’est fini, ce qui présage bien de l’avenir de la France qui ne pourra survivre aux insultes des mélechiens, au crétinisme des écolos, aux laisser-aller des socialos-communos, à la lâcheté des droites-centres bien comme il faut, à l’arrogance-ignorance des microniens et au lourd et épais brouillard dans lequel s’agitent les politiques devant un peuple prostré dans un coin de leur cuisine. Tout est bluff. Tout est mensonge. Tout est déni. Les génies, les héros, ceux qui inventaient le monde de l’espoir et de l’évolution au moyen de leurs fictions littéraires, théâtrales, musicales, cinématographiques, picturales, sculpturales, ont disparu à tout jamais. Si mon petit plaisir journalier est de papoter dix minutes - dix minutes, ça me suffit - avec ma voisine de palier avant de prendre mon café chez Leclerc, mon bonheur qui tend à me donner encore un peu d’espoir avant ma mort imminente, est de regarder et regarder encore les exploits de l’agent du FBI Dale Cooper ou l’ascension irrésistible du chimiste Walter White, parce que dans ces contes pour enfants - l’adulte comme la démocratie n’ont pas encore été inventés - j’y trouve le symbole de la vie, ma vie. Mais je n’oublierai pas l’histoire de la création du monde et de sa fin, subtilement et magistralement représentée dans le Ring du plus grand homme de l’histoire de l’humanité avec Sigmund Freud : Richard Wagner. Avec ma voisine de palier et mon café Leclerc, je prends aussi plaisir à jouer chaque jour de mon cor ténor si bémol qui se métamorphosera dans les prochaines semaines en saxhorn baryton en si bémol lui aussi. Alors que j’évolue dans le monde que je me suis créé et que je me crée chaque jour, je regarde par ma fenêtre, j’observe, j’écoute et j’entends les mouvements désordonnés et sans fin des robots-hommes-femmes-enfants, des morts-vivants depuis les débuts du monde qui n’ont même pas conscience qu’ils sont morts parce qu’ils ignorent que vivre ça s’apprend. Ça s’apprend en poussant la porte du cabinet de Freud pour y chercher son miroir, le trouver, s’y regarder, s’y reconnaître et la traverser. Biden et Micron l’ont oublié... volontairement dans leur ignorance crasse. Ils vont le payer quand ils vont pénétrer dans le noir du fond de mon puits au fond de mon jardin où ils ne seront même pas capables de comprendre comment ils en sont arrivés là : chez moi, dans mon jardin !
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