vu à travers le tube • bidon, micron, mélenchion…

L’alzheimerien Biden, vieillard sénile, appelle à défendre la démocratie. Démocratie ? Waouh ! C’est quoi ? L’avez-vous vu en quelques endroits ? Depuis 80 ans je la cherche et ne la trouve pas. Il faut l’inventer. Oui, il faut inventer la DEMOCRATIE, l’inventer avant que l’incommensurable crétinisme humain n’ait eu raison de tous ces morts-vivants qui grouillent sur la terre. Et, croyez-moi, ce n’est ni avec Bidon, ni avec Micron, ni avec Mélenchion que vous y parviendrez. C’est en vous occupant de votre psychisme que les choses avanceront… vers l’avant. C’est en poussant la porte du cabinet de Freud pour y chercher votre miroir, le trouver, vous y regarder, vous y reconnaitre et le traverser que vous trouverez la capacité d’inventer et d’assimiler le chemin qui vous mènera vers la lumière. Sur ce chemin, vous y rencontrerez la Démocratie. Sans Freud, point de lumière, seulement le noir du fond de mon puits au fond de mon jardin.

 

Micron II Roi de France a débité sa tirade devant les responsables de tous les pays du monde. Il poursuit sa destruction de la France dont pourtant 13% de français l’ont sacré Roi une deuxième fois. Je préfère la tirade de Rodrigue parce qu’elle est en vers de douze pieds, donc bien ancrée dans le sol de notre terre que les hommes ont bétonnée après l’avoir débarrassée de ses frênes, de ses peupliers, de ses chênes et de ses cerisiers. Notre descente aux enfers, nous la devons à Micron mais aussi à Bidon et à Mélanchion qui était avant Mélenchien et qui est, aujourd’hui, les deux en même temps, mais aussi à tous leurs copier-coller. Et nous - VOUS - continuons à voter - MOI PAS - !

 

Selon le quotidien anglais « The Daily Telegraph », la France est en chaos et en déclin. Depuis 1958 - arrivé du militaire au pouvoir - je dis la même chose. Les choses se précisent et me donnent raison. Mon puits au fond de mon jardin se remplit et bientôt je vais être obligé d’en construire un autre. Tant que nous ne placerons pas l’homme au centre de nos préoccupations, notre chute abyssale ne fera que s’accroitre. Suivre la voie des gens bien comme il faut est le danger de l’humanité. Nés morts, nous refusons de vivre notre vie que nous n’avons pas su créer. Et j’en terminerai ici. Pour Freud, lisez plus haut.