Génial !
Fabuleux ! En avance de dix siècles sur notre temps piteux. Elisabeth -
pas la Reine d’Angleterre morte il y a quelques mois -, Elisabeth - pas celle
de Valois qui a épousé Philippe II en place de Don Carlos -, Elisabeth de Borne,
le vieux Premier ministre du Roi Micron II, a réuni un conseil des ministres
avec des enfants de 8 à 12 ans - enfants
incapables d’ajouter 2 à 5, incapables de faire la différence entre le singulier
et le pluriel, ignorant Cosette et Dantès, n’ayant jamais tenu un porte-plume
dans leur main et tombant de leur chaise lorsque qu’ils entendent, par hasard,
quelques notes de Bach ou Mozart -, afin d’élaborer des propositions sur l’environnement,
l’école, la santé et le handicap, l’accès à la culture et au sport et le
numérique. Waouh ! On est en pleine
rigolade tragique. Non seulement la femme déconstruit l’homme pour en faire son
objet, mais en plus, on officialise la prise de pouvoir par la marmaille qui va
décider de l’organisation de la vie, alors qu’elle en est au stade de l’embryon
crétin qui ne peut fonctionner qu’à coups de pieds au cul. La démission des
adultes n’est pas nouvelle. Mais là, c’est carrément la disparition, la fuite
au centre de la terre. Le problème reste bien l’homme, l’homme au psychisme
inabouti. Et c’est de ce côté qu’il faut travailler pour tenter de le faire
aboutir au stade d’adulte où la réflexion et l’imagination sauront s’imposer et définir
un monde authentique où tout le monde y trouvera son compte. Et je répète - je
ne le répèterai jamais assez pour les ignorants -, pour cela, il faut pousser la
porte du cabinet de Freud pour y chercher son miroir, le trouver, s’y regarder,
s’y reconnaître et le traverser. C’est tout. Ce n’est que ça et ce n'est pas
rien. Le monde n’est qu’une image tronquée qui déforme la réalité. C’est à
chacun de nous de faire travailler notre pensée pour rétablir le sens réel de l’image
et changer notre perception. Sans cela, tout continuera comme avant et je ne
ferai pas un dessin pour montrer où nous allons.
« C’est
un drame innommable » a dit Attal, ministre de je ne sais quoi. Il avait
dit la même chose - les mêmes mots - pour le meurtre de l’ado de 14 ans, la même
chose pour le meurtre précédent, la même chose pour le meurtre qui a précédé le
meurtre précédent, etc… En France, tous les jours, il n’y a que des drames innommables.
Les ministres sont comme la marmaille invitée par Bone : ils ont un
vocabulaire restreint.
Hier,
un cinquième 49.3. Et il y a encore des marmites d’ignorants stupides qui
prétendent que la France est en Démocratie !
Pour
la femme, la France est devenue une fabuleuse Démocratie le jour où elle a
obtenu le droit de vote. En fait, avant ou après l’évènement, je ne vois pas ce
qui a changé. Le vote n’a strictement rien à voir avec la Démocratie qui n’a
toujours pas été inventée. Pour preuve : en Guinée équatoriale, le président
Teodoro Obiang - 80 ans - règne depuis 43 ans en obtenant 98,5 à 99,9% de voix
à chaque élection. Inutile de commenter d’autant que j’ai mieux à faire :
saluer ma voisine de palier et papoter sur les dernières nouvelles et prendre
mon café chez Leclerc… le meilleur moment de la journée !
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