mardi 1 novembre 2022
vu à travers le tube • salauds d’écolos !
Et pourquoi ne mélangerions-nous
pas les torchons avec les serviettes ? Ce n’est pas parce qu’un con a dit
une connerie qu’il faut le suivre et diffuser sa connerie sur toute la planète.
L’horreur sur cette terre se compte au nombre de deux : les écolos (le
torchon) et halloween (la serviette). Les bombes russes, les sauvageries
primitives iraniennes, les indécences qatariennes, la scandaleuse monarchie
micronienne, ne sont que des enfants de chœurs endormis sur un matelas d’hosties,
par rapport à l’incommensurable bêtise hallowenienne et surtout aux stupéfiantes
ignorances, violences, bestialités, dégénérescences, amputations de la pensée,
dont sont pourvus les innommables écolos à quelques degrés que ce soit. Depuis
que la terre est terre - ça fait quelques années - elle se réchauffe et se refroidit selon son selon à elle. En ce moment, elle se réchauffe et des
millions de gens - peut-être tout le monde - vont mourir parce que leur corps
ne le supportera pas. Et alors ? C’est bien le seul moyen de régler le trop-plein qui piétine cette terre où l’on fait couler le béton à foison, où on
la défigure avec des immeubles agglutinés et des routes pour faire rouler des
boites de conserve ou cercueils ambulants. L’écologie est la nouvelle punition
inventée pour châtier les populations qui ne cessent de se reproduire alors qu’il
n’y a plus une seule place pour les accueillir. L’homme est l’échec de l’univers.
Et puisqu’il n’est pas capable de se reconnaître puis de se connaître, autant l’exterminer.
Les écolos s’y emploient sans savoir - ils sont trop cons - qu’eux aussi vont s’exterminer
entre eux et que bien avant que la terre atteigne les cent degrés, il n’y aura
plus un seul être vivant sur la planète. Quand je regarde par ma fenêtre et que
je vois, sur le trottoir, marcher des jambes ou des cannes ou des roues de
fauteuil à mains ou électrique, j’ai honte d’être semblable à cette chose immonde
qui pense qu’elle pense alors qu’elle ignore la pensée, qui vit alors qu’elle est
née morte. Le seul espoir qu’il reste - une demi-goutte d’eau dans l’océan - c’est
que Freud est toujours là et que celui qui le veut, peut pousser la porte de
son cabinet pour y chercher son miroir, le trouver, s’y regarder, s’y
reconnaitre et le traverser. Ce sera au moins un être pensant, sauvé !
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