Il est vrai que la réforme des retraites, l’alcoolisme chronique et le penchant pour les femmes de Le Graët, ont effacé la guerre ukraino-russienne, mais les observateurs n'ont jamais manqué de relater la sauvagerie, le sadisme, l’extra-super-mega violence des russes qui massacrent, violent, tuent tout ce qui se présente sur leur parcours ; hommes en armes ou pas, femmes jeunes ou vieilles, animaux de toutes sortes. Bref, l’abomination de la zimhumanité comme jamais la terre n’en avait vu. Les observateurs auraient donc oublié les perpétuelles guerres de religions, le massacre des protestants par les catholiques, les barbarismes de la guerre de Cent ans, l’esclavagisme des africains par les américains, les horreurs de la guerre du Vietnam, les tranchées de la guerre de 14-18, les tortures de la guerre d’Algérie ? Et j’en passe par milliers… La guerre, c'est la guerre. Et si on ne supporte pas la souffrance, on ne fait pas la guerre. Point.
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