Hier soir sur Mezzo, « Le Chant
de la terre » de Gustav Malher, avec Kozena, O’Neill, le Czech Philarmonic,
dirigés par l’immense Simon Rattle. Après ce moment intense de lumière, les
restes - Zelenski, Palmade, Macron, Biden, Mélenchon, César, et tous les autres
- ne sont que des riens, des non-choses, des cacas de pigeons-nains. J’ai vu le
regard et les sonorités de l’invisible. J’ai eu accès à l’inaccessible.
Alors, j’en terminerai ainsi, non
sans avoir dit que Poutine a déclaré qu’il gagnerait la guerre alors que je
sais qu’elle est perdue pour la planète qui va se briser en mille morceaux et
disparaître dans l’univers, nous laissant tous comme des cons idiots - ce que
nous sommes - tous nus, le cul dans l’eau.
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