Comme l’a dit ce matin un journaliste venu de je ne sais où, pour
montrer leurs invincibles connaissances, leur imperfective loyauté, leur amour
démesuré des peuples courbés, les grands de ce monde ne pouvaient omettre le
voyage au Vatican pour l’indispensable rencontre avec le Pape, celui qui est l’incarnation
même du trentenaire Jésus qui est mort cloué sur une croix pour sauver les peuples
d’avant, d’aujourd’hui et d’après, afin de leur assurer une place au Paradis Lapin
à droite, à gauche ou au centre du Dieu tout-puissant qui a créé l’homme, puis la
femme beaucoup plus tard, pour lui tenir compagnie, ce qui n’a pas été
vraiment une réussite. Aujourd’hui, ces grands de ce monde ont délaissé le Pape
pour rendre l’indispensable visite au héros, le plus grand de tous les temps,
après Siegfried, le superbe et rayonnant Zelensky, un clown truand qui ne désespère
pas de gouverner le monde, et les mondes d’ailleurs, en binôme avec son
copain-copain Macron Roi de France, ado au psychisme lézardé et inabouti.
Voilà. C’était la situation du monde ce matin à 8h41.
Quand j’étais petit, on admirait Gérard Philipe, Louis Jouvet
ou Otto Klemperer, des hommes. Aujourd’hui, on admire des lapettes. Triste fin
de monde…
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