Les détails sont inutiles. Chaque jour, en France et ailleurs, on assassine, on viole, on frappe, on humilie et la loi qui semble n’être faite que pour ça, punie, punie et punie, pas toujours les bons et pas toujours à bon escient. Les châtiments réclamés par les peuples - ensemble d’individus criminels - des moins pires aux pires des pires, n’ont jamais servi, ne servent à rien et continueront éternellement à n’être que gadgets. Et pourtant, on va rétablir la peine de mort (si ! si !) alors que le suicide est interdit. Taré ! Complètement taré le monde et ses pitoyables locataires qu’on appelle des adultes responsables alors que je ne vois que des morveux et des ados attardés, non conscientisés, vivant à l’état végétal. Des morts, rien que des morts qui meurent de trouille devant la mort. Et le monde entier réclame des héros sous forme de Dieux et de Rois. Ici, nous avons le pire des pires. Un bébé langé par sa maman et pendu au téton de son sein, qui meurt d’envi de toucher les hommes. Et ÇA, ça commande un pays ! Et tous les pays du monde ont les mêmes problèmes sous des formes décalées, mais identiques - le sénile Biden, le psychopathe Zelenski, etc… - Et personne ne bouge. Le monde la ferme. La peur de je ne sais quoi terrorise. On pourrait dire LÂCHETE. Sans doute. Moi, je dis IGNORANCE des cerveaux aseptisés. Aucune des solutions proposées et imposées ne peut apporter de réponses à la marche normale et apaisée de la vie. Le monde s’engouffre dans les mirages. Et pourtant la solution existe, là, tout à côté : la porte du cabinet de Freud qu’il faut pousser pour y trouver son miroir, s’y regarder, s’y reconnaître et le traverser pour tresser le lien entre son conscient et son inconscient afin de vivre authentiquement sans reproduire la vie des morts. La grande absente chez l’individu de toutes conditions, c’est la CONSCIENCE. Rien d’autre. Vivre c’est être conscient. Sur mon long chemin dont le bout se rapproche, j’ai rarement rencontré des êtres authentiques. J’ai pu les compter sur les doigts d’une seule de mes mains, celle qui est amputée. Triste, l’ignorance de l’homme…
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