Gilbert
Collard - qui n’est pas ma tasse de thé - vient d’asséner quelques vérités que
j’approuve entièrement. Il a déclaré que le journaliste déchu Patrick Cohen
était la voiture balai de la télé et qu’il n’était plus que le valet-de-pied d’Anne-Elisabeth
Lemoine, la dinde-commère de basse-cour dont les français, au psychisme
fracturé et inabouti, se délectent du lundi au vendredi dans son émission de
désinformation permanente et insistante. Et maintenant, c’est moi qui le dis :
l’abruti Hanouna ne cesse de faire le plein de schizophrènes. Et il reste
encore des optimistes sur cette terre ? Jamais je ne pardonnerai à la
femme qui m’a éjecté méchamment dans ce monde d’excréments.
Heureusement,
très prochainement, je vais retourner à Berlin rendre visite à mes vrais amis,
ceux avec lesquels j’échange, je pleure et je ris en évoquant l’aliénation de l’humain.
Cette fois, ce sont mes trois amies d’enfance, mes confidentes que je vais
retrouver. Arabella, Salomé et Elektra sont des femmes intelligentes,
attachantes, sachantes et savantes, des femmes comme je les aime. Là-bas, je
suis dans un monde où l’on vit vivant. C’est rare pour ne pas dire unique, moi
qui n’aurai connu que des vivants morts qui ont un pied dans la tombe et l’autre
dans la fourmilière. Quant à la tête, je ne sais pas. Sans doute parce qu’elle
n’est pas !
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