C’est de l’Élysée que la 1e ministre godillote et
soumise a ânonné son texte insipide, sans la moindre honte. Peut-être était-ce
son hologramme ou le robot de son IA qui posait devant les caméras télés. Je ne
sais pas. Ce que je sais, c'est que les mots, à peine prononcés, étaient ceux qui
sortaient de la complexité du psychisme fracturé de son tortionnaire ado et Roi
de France selon - dit-on - la volonté des français, ce qui est un mensonge gros
comme le cul d’un éléphant. Dans ce monde fracassé, devenu un désert lunaire,
tout est désastre et morts effectives ou annoncées. Les deux chapitres
prioritaires - les 6 millions mensuels offerts à un triste décérébré qui joue au
ballon et l’invasion barbare des peuples primitifs qui violent les lois, les
femmes et les principes, en attendant de prendre notre place - n’ont pas
été abordés. La vieille dame et le jeune fanfaron en barboteuse ne méritent pas
autre chose que de finir dans le noir du puits au fond de mon jardin où
croupissent les crapules comme François 1e, Napoléon, Caligula et Jack
l’Éventreur.
Un jeune paumé a encore violé une petite fille. Je ne
développerai pas. Si la société s’intéressait à Freud et exploitait à fond sa
thérapie psychanalytique, la petite fille, ce matin, jouerait avec sa poupée. C’est
tout !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire