vu à travers le tube • qu’y a-t-il de pire que l’horreur ?

Hier soir, Mezzo - pourquoi le même programme sur Mezzo et Mezzo Live ? -, Werther de Jules Massenet, sous la direction intransigeante du vieux maître Plasson avec le duo désormais mythique et indétrônable, Kaufmann-Koch. La lumière. La vie. Cette toute petite chose qui nous empêche de nous jeter de notre balcon. Hier, « joie » était la télé. Ce soir, « détresse » elle sera. Les perversités et pourritures de l’Enfer vont tenter de pénétrer nos logis dès 20 heures. Le petit Roi de France, l’ado immatures au psychisme fracassé, va oser insulter le peuple. Je vais aller me cacher dans la forêt des Prés-Riants et converser avec mes lucioles et mes fées pour rêver de ce monde qui hante mes rêves et que je suis le seul à connaître. Les secrets ne sont pas faits pour être dévoilés. Des larves puantes vont regarder et écouter. Qu’y a-t-il de pire que l’horreur ?