La latéralité miroitique du célèbre Zorro - un homo masqué qui volait, vissé sur son coursier, au secours des pauvres gens - a replongé la France dans le trou noir de ses échecs permanents. La chansonnette que La Zarra a ânonnée, susurrante ou hurlante - je ne sais pas, je n’écoute jamais les chansons - a laissé le public de tous les continents, indifférent et la France s’est effondrée comme elle le fait depuis plus de cinquante ans. Ce n’est pas grave. Ce n’est que l’échec de la partie merdique de la musique vendue en sachets de un ou deux grammes. C’est sans importance puisque la France n’a nullement besoin d’une La Zarra pour se jeter dans le noir du fond de mon puits au fond de mon jardin. Elle est infectée par des hordes de rats et de puces et pas une seule pensée pour lui injecter le vaccin contre le tétanos. La France ne pense pas, donc elle n’est pas. Voir, sous ses propres yeux, mourir un rien, c’est très grave et ça ne l’est pas. Si Jimmy est Saul, si Dougie est Dale, c’est que quelques rares pensées sont capables de définir la ligne droite ou courbe ou fourbe, en successions de points, pour faire sortir de leur cerveau des personnages vrais, lavés des croyances humaines. C’est de ce côté qu’il faut se tourner.
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