Alors que Prigogine - un cannibale insatiable - a failli
prendre le trône des tsars de Russie, le monde a eu la peur du siècle et s’est aplatie
devant les Dieux des Cieux, les suppliant d’épargner Poutine - recherché par la
Cours de Justice Internationale qui veut le condamner pour crimes de guerre, odieux
et sadiques, comme si le crime odieux et sadique n’était pas le sujet et l‘objet
de la guerre - et lui accorder une longue vie à la tête de la Russie. Où l’on
voit à quel point l’homme est changeant et incapable de fixer le point qui fixe
le cap. Il croit voir ce qu’il voit alors que ce qu’il voit est le
faux-semblant de ce qu’il devrait voir. On lui dit que le Roi s’installe trois jours
à Marseille pour rétablir l’ordre et repeindre sur la façade de la préfecture,
de la mairie et du Céleste, « Plus Belle la Vie », et il croit ce
verbiage de psychopathe, comme il croit que Marie a couché avec un ange. Triste
chose que la pensée de l’homme qui n’a pas évolué d’un pouce depuis près de 100
000 ans. Alors que les peuples se repaissent des fables poutiniennes, macroniennes
ou bideniennes. Je me suis nourri du documentaire sur Brigitte Lefèvre. Vous ne
pouvez savoir comme c’est bon de côtoyer des vivants.
Hier, Arte n’a cessé de tarir d’éloges sur Menuhin et Karajan
avec l’excellent film de Clouzot. C’était beau, mais c’était triste. La
perfection est le pire ennemi de l’émotion. Jansen/Abbado ou Rattle - par exemple - m’aurait
rempli de joie.
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