vu à travers le tube • dans le noir du fond de mon puits…

Tel le perroquet le plus perroquet qui soit, Borne répète inlassablement les suites de mots sans liens ni sens du Roi qui prétend que l’heure est à la réflexion profonde et dans la durée pour tenter de déceler le pourquoi de la chienlit de ces derniers jours, alors que tous les français en connaissent la teneur et les aboutissants depuis 1958. La France, sans gouvernement, sans parlement, sans justice, sans projets, mais avec un dictateur ado au psychisme inabouti et fracturé, agonise sur son lit de mort et aucun médecin ne veut tenter de la soigner. Les deux ères Macron n’auront servi qu’à honorer l’extrême droite qui, si elle a l’intelligence d’associer étroitement, Le Pen, Zemmour et Maréchal, sera assurée de prendre le pouvoir et 2027 et peut-être même avant. Tant mieux ou tant pis, selon. Pour ma part, ne plus voir Macron et ses singes abrutis est à ma convenance. Je ne participe pas au jeu malhonnête, pervers et indécent qui consiste à glisser un morceau de papier cul dans une fente pour désigner un bourreau qui fait usage du fouet en toutes circonstances. L’ère de l’inhumanité est terminée. Encore quelques soubresauts et l’univers sera plongé dans le noir, le même noir qui comble le fond de mon puits au fond de mon jardin où croupissent les cadavres des morts qui n’ont jamais été en vie. Un homme était apparu et avait proposé la solution : chercher son miroir, le trouver, s’y regarder, s’y reconnaître et le traverser. Il a été rejeté de toutes parts. C’est donc bien ainsi : crever sans jamais avoir fait quoi que ce soit de sa vie.