vu à travers le tube • en phase terminale…

Le malaise - grandissant - est sans doute que l’homme est coupé de ses fondamentales, que sa boussole a perdu sa fonction et que, sans cesse, il sort de l’écran blanc. Il est grandement handicapé et hors de son chemin, il marche sans ses jambes, regarde sans voir, entend sans écouter. Il est perdu sur cette immense terre qui ne veut plus de lui. Les responsables politiques - tous sans aucune exception - auront eu raison de lui. C’est cela son autodestruction. Le vote est un leurre, un des pires actes que l’homme ait inventés. Dans une authentique Démocratie, revu et aménagé, il aurait pu être une clé de notre liberté. Mais en monarchie, en dictature macroniste - ce n’est pas Kim Jong-Un mais sans doute pire parce que beaucoup plus raffiné - à quoi peuvent bien servir les élections qui ont toujours pour conséquence la déconstruction des plus faibles et la misère au bout du chemin. Revenir aux fondamentales en poussant la porte du cabinet de Freud pour y chercher son miroir, pour le trouver, pour s’y regarder, pour s’y reconnaître et pour le traverser.