Les minutes de silence, les marches blanches, les compassions en tous genres, sont devenues des constantes qui occultent toutes réalités. Pleurer en écoutant les immondes discours des autorités, ne fait que réjouir les criminels et les terroristes qui sont encouragés à recommencer au plus vite pour se repaître de nos pleurs de midinettes. Arrêtons les coupables et jetons-les, bien ficelés, au beau milieu des océans, sans jugement. Si les lois ne le permettent pas, changeons-les.
Ce dimanche matin, en zappant, je suis tombé sur « Le jour du seigneur ». Je ne savais pas que cette émission qui existait déjà avant l’invention de la télévision, était encore en vie. Le mirage, le déni, le mensonge, est donc toujours de mise. Dieu, cette puanteur qui n’existe pas, donc, qui ne peut pas puer, qui n’est qu’une invention de la pensée de l’homme pour justifier de sa lâcheté, est donc bien toujours présent dans nos fantasmes, avec ses guerres terrifiantes et bien réelles et ses monstruosités sadiques. Qui peut oublier la Saint-Barthélemy ou les Deux questions (ordinaires et extraordinaires) ?
Tout cela n’est pas sérieux. Pas un seul progrès psychique depuis l’apparition de l’homme. Et ce ne sont pas les inutiles et ridicules « progrès » scientifiques qui changeront quoi que ce soit. Nous finirons – pas moi, je meurs bientôt – tous, bardés d’une puce électronique, obéissants au doigt et à l’œil à une machine. Dictature, soumission, humiliation : ce n’est que ça, notre bel avenir !
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