En France, les fous islamistes ont encore frappé. Les religions ont encore frappé. Quand va-t-on faire le tri entre les normalités et les folies meurtrières ? Jusqu’à dimanche dernier, il était impossible d’ouvrir un écran télé sans voir, du matin au soir et du soir au matin, Zelensky chouiner. Depuis dimanche dernier, il était impossible d’ouvrir un écran télé sans voir, du matin au soir et du soir au matin, les horreurs de l’histoire sans fin, Israël-Palestine. Et depuis hier matin, il est impossible d’ouvrir un écran télé sans voir, du matin au soir et du soir au matin, l’attentat islamiste sur un prof de français. Et depuis toutes ces aventures, il est impossible d’ouvrir un écran télé sans entendre les commentaires afférents à ces actualités, commentaires qui jamais ne posent la bonne question, celle qui est la question : que faire pour que l’homme franchisse la barrière qui sépare le nourrisson du bébé, voir, éventuellement, de l’enfant de l’adolescent, faute de pouvoir passer au stade des adultes qui ont disparu du globe terrestre depuis si longtemps que je ne suis pas sûr qu’ils aient un jour existés. La question est là. Que là ! Les restes ne sont que pacotilles parce que si l’homme ne se décide pas à soigner son psychisme, les guerres, les mensonges, les dénis, les perversions, perdureront jusqu’à épuisement total. L’homme n’est pas un sage. Il n’est qu’un grand malade ignorant. C’est à cet immense problème qu’il faut s’attaquer. Désolé ! Freud, oui, Freud ! Pousser la porte de son cabinet pour y chercher son miroir, pour le trouver, pour s’y regarder, pour s’y reconnaitre et le traverser. C’est tout. Sans cette démarche, personne ne pourra arrêter la course du monde qui s’enfonce dans le trou.
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