vendredi 8 décembre 2023

vu à travers le tube • les monstres sont de partout...

 

Il y a ces monstres qui tournent autour de nous et que nous évitons de voir comme nous évitons le regard de notre regard dans le miroir. Il y a aussi ce monstre qui nous habite, qui nous mène par le bout du nez et que nous ne voulons pas apprivoiser. Il y a encore ces montres de légendes qui font peur aux petits et grands enfants. Il y a enfin ces monstres, bien perceptibles, qui prennent plaisir à détruire nos vies, les pires d’entre eux étant les écolos qui se plantent sur toute la ligne – lisez Francis Gervais, professeur émérite de physique à l’université de Tours -. Mais, il y a aussi ceux que l’on dit monstres qui font toutes les unes, ceux qui auraient violé à répétitions des femmes qui se réveillent des années plus tard pour désigner celui qui lui a imposé une relation qu’elles n’auraient pas désirée. Dans ce dernier cas de monstres, il serait salutaire pour l’humanité que l’on cesse de clamer « il voulait, elle ne voulait pas, il l’a forcé ». Tout ça est beaucoup plus simple et beaucoup plus complique. Je croirai l’opinion publique lorsque qu’il y aura égalité entre le « il voulait, elle ne voulait pas, il l’a forcé » et le « elle voulait, il ne voulait pas, elle l’a forcé » et quand je pourrai compter autant de sectes en soutien à la femme, que je pourrai compter de sectes en soutien à l’homme. Dans toutes relations, les deux protagonistes sont coupables chacun à 100%. Si vous aviez mis Freud en pratique, je n’aurais pas eu besoin décrire ce tube.    

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