Le peuple et ses dirigeants ne veulent pas comprendre que le cancer foudroyant de la France, c’est la psychose ravageuse de l’écologie et l’invasion barbare de l’immigration. C’est de même pour nombre de pays. Il est vrai que, plus grave encore, c’est l’ignorance généralisée qui pousse les masses et les intellos sur les chemins détournés où l’on ne rencontre que les sorcières et les monstres de nos beaux contes de fées destinés aux adultes assumés. Parmi les milliers d’aberrations vérifiées, de la journée d’hier, il restera l’image des chars d’assauts du Roi de France face aux tracteurs des paysans qui n’ont plus les moyens de nourrir leur famille et de vivre décemment, alors qu’ils sont les seuls à travailler sans interruption du premier au dernier jour de l’année, pendant que les représentants du peuple – députés et sénateurs – augmentent leurs confortables revenus sous prétexte qu’ils auraient des frais de poche exubérants. Et le Roi, cet ado poisseux inabouti qui se réfugie sous les jupes de sa maman qu’il a épousée, profite de leur détresse pour les arrêter et les mettre en garde à vue. Jamais la France n’a fait preuve d’autant de lâcheté. Honte à tous ceux qui se précipitent aux urnes pour donner des pouvoirs à ces misérables excréments. La France est passée totalement à côté de la démocratie. Sa dictature inavouée est bien pire que celle des pays totalitaires, parce que chez eux, la couleur est annoncée. Rien n’arrêtera la chute déjà bien amorcée. Le noir s’étend lentement et sûrement. La fin de ce monde est une aubaine, car elle peut laisser espérer un nouveau monde à venir, un monde où l’humain – s’il n’est pas robot-inintelligence artificielle - , n’inventera ni la roue, ni la corde à sauter, mais s’occupera uniquement de son psychisme, s’il ne veut pas reproduire les incompréhensibles erreurs de toutes les civilisations. J’espère que les nouveaux peuples retrouveront dans les bas-fonds, au moins un exemplaire de l’œuvre de Freud ou, peut-être, de Dolto. Cela pourrait considérablement les aider.
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