mercredi 31 janvier 2024

vu à travers le tube • les confusions scélérates…

Être français en 2024, c’est être homosexuel et Premier ministre. C’est ainsi que l’on pourrait résumer le débit assumé du jeune Attal qui a affirmé son appartenance servile au mouvement macronien des macronistes de l’ado au psychisme inabouti qui a élu domicile sous les jupes de sa maman. L’homosexualité n’est ni une tare, ni une maladie. Ce n’est qu’un inaboutissement du psychisme qui empêche les différentiations. Qui se ressemble s’assemble. Et il semblerait bien que le duo qui décide au sommet – l’un décidant, l’autre répétant les décisions – ne puisse que continuer à plonger la France dans la confusion. C’est la confusion qui tend le fil de la destinée et qui, cédant sous le poids des contradictions, provoque les tempêtes qui engloutissent jusqu’à recouvrir le monde. Nous en sommes là et les horizons fermés à tout jamais, ne laissent plus passer la moindre ombre qui pourrait réveiller les morts qui ne sont pas encore sous terre. La confusion est essentiellement dans l’identité que nous nous sommes données. Nous croyons la France républicaine et démocratique alors qu’elle n’est qu’une banale dictature où le roi-dictateur fait régner multiples confusions qui s’entrechoquent, se contredirent et sèment le désordre, la panique et le malheur. C’est le système électoral qu’il faut changer du tout au tout, en responsabilisant lourdement les élus qui ne tiennent pas leurs promesses. Chacun devrait savoir que les problèmes sociétaux sont liés étroitement aux décideurs élus, et que donc la question qui se pose est : « Qui les a élus ? » Peuple de France, TU es responsable de la chienlit actuelle. Moi, pas, je ne vote pas. Je ne vote plus. Tout le monde devrait savoir que le peuple est une somme d’individu. Changer le pouvoir, c’est changer le peuple, c’est changer l’individu. Et c’est donc par ce dernier qu’il faut commencer. Et pour le changer, il faut le débarrasser de ses oripeaux, de ses faux-semblants, de ses représentations psychiques. Il ne cesse de croire ce qu’il ne croit pas. Il ne cesse d’âtre ce qu’il n’est pas. Les confusions sont abyssales. Aussi, je me répète et j’en suis désolé. Pour se trouver, pour être soi-même, il suffit de pousser la porte du cabinet de Freud pour y chercher son miroir, pour le trouver, pour s’y regarder, pour s’y reconnaître et pour le traverser. Ce n’est vraiment pas très compliqué.  

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