Les
agriculteurs en colère se sont remobilisés ce matin pour dire aux français que
le mélodrame joué piteusement le jour de l’ouverture du Salon par l’acteur
défait, l’enfant inabouti qui se veut le maître du monde, n’aura servi à rien, puisqu’ils
en sont toujours au même point. Les gens du nord n’en peuvent plus des
inondations et des assurances qui ne les indemnisent pas alors qu’ils n’ont
plus de maisons et qu’ils ont payé chaque mois leurs cotisations. Pourtant l’enfant-Roi
et son godillot premier Ministre – un autre enfant – étaient venus leur serrer
la paluche et égrainer leurs chapelets de promesses. Depuis… rien ! Les cartels
des drogues marseillais ont pris possession de la ville de Nîmes et s’installent
dans les écoles. Où est la police ? Où est l’armée ? Où est le Monarque
absolu de la France. Et pendant ce temps, ceux qui ont demandé le pouvoir, qui
l’ont obtenu, chouchoutent les ukrainiens, soutiennent les terroristes
hamasiens, déclarent la guerre aux moscovites, comme s’ils n’avaient pas assez
à faire avec les problèmes de la France qui s’écroule sous les incompétences et
les jeux triviaux de la politique. « Pas grave tout ça ! », a
dit le jeunot, « bientôt, les Jeux à Paris vont redonner éclat et puissance
à la France et me draper dans les manteaux de soie des grands assassins, les célébrissimes Charlemagne
et Napoléon ! » J’aurais pu dire tout aussi bien François 1e, Henri
IV ou Louis XIV.
Demain, je vais rencontrer chez mon Leclerc les mendiants qui quettent l’aumône pour
les restos du cœur. Je ne donne rien à ces gens-là. C’est pour les affamées et
les déshérités que je paie mes impôts et non pour fabriquer des armes et filer
du fric au psychopathe Zelenski. Et je ne donne pas mon fric, aussi, à l’État pour
entretenir le logis et les frais de bouche de l’enfant qui a épousé sa maman !
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